Et je crains qu’un indice du bien-être ne devienne un outil de gestion technocratique de l’économie. Car qui va définir ce qu’est le bien-être, ses ingrédients, lesquels sont prioritaires et dans quelles proportions ? Peut-on laisser cette tâche aux économistes (aussi bien intentionnés qu’ils (…)
La croissance économique, un mythe à détruire