Oui, ici j’avoue aimer cet homme avec fierté, avec respect. Faut dire que je suis fidèle, je l’aime depuis longtemps, comment ne pas l’aimer ? J’aime sa jeunesse, son esprit ouvert et libre, j’aime son geste qui étreint le monde ; un monde que - sans se lasser jamais - il scrute, démêle, (…)
EDGAR MORIN LÀ-BAS