Tandis que la paysannerie bio-diversifiée achève de se faire écraser par le lobby agro-industriel (déjà dévastée par les SAFER depuis 1950 par l’abattage des bocages et le regroupement extensif des terres cultivables) les actionnaires-propriétaires se payent d’énormes fermes de 100 à 10 000 (…)
Comment les Safer font des affaires