oui c’est difficile. Merci de le dire de cette manière là. Merci de cette émotion partagée.
Agnès Varda, un hommage modeste et génial
« C’est une idée qui me vient comme ça de temps en temps : quelqu’un me sourit, traverse la rue pour me serrer la main et me dit : "merci, sans vous, il manquerait vraiment quelques chose à notre pauvre monde." » Sempé (1985)
Un spa et un solarium minéral des #JO2024 valent-ils mieux qu’un jardin centenaire ?
Ça se passe à Aubervilliers, à quelques centaines de mètres de Paris.
Le projet qui (…)
À La Roche-sur-Yon, le collectif « Sauvons la Vallée de l’Ornay » appelle à manifester samedi 17 avril, contre le contournement sud de la rocade.
Le collectif (qui (…)
Alors que les occupations se poursuivent (plus de 80), la CGT spectacle appelle à de nombreux rassemblements vendredi 2 avril, contre la réforme de l’assurance chômage, (…)
Le
Le confinement quasi mondial a permis aux plateformes de vidéos en ligne d’augmenter leur audience et leur nombre d’abonnements. Pour attirer l’abonné, elles peuvent compter sur les séries policières, qui sont aussi la base du catalogue de toute chaîne télé, publique ou privée. Mais pourquoi toutes les séries policières, qu’elles soient françaises, danoises ou américaines, se ressemblent autant ? Le commissaire Mordillat a mené l’enquête… devant sa télé.
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Nos vies valent plus que leurs profits. Rarement un slogan de manif n’aura pris un sens aussi éclatant et aussi profond. Depuis des années, la contestation répète qu’un autre monde est possible. Il est urgent de dire lequel, aujourd’hui.
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Votre travail apporte-t-il quoi que ce soit d’important au monde ?Faites vous un BULLSHIT JOB, un BOULOT À LA CON ? 40 % ont répondu « non » à la question posée par l’anthropologue David Graeber. Faites vous un « BULLSHIT JOB », un BOULOT À LA CON ? En 2013, dans un article provocateur dans la revue STRIKE !, David GRAEBER pose la question.
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« Il rendait les gens heureux » : le mot sans doute le plus juste dans la pluie d’hommages qui tombe sur la mort de Manu Dibango à 86 ans, des suites du CoViD-19. « Je suis passionné et curieux », disait-il, et c’était vrai, et toute sa vie et toute sa musique le prouvent sur tout son parcours, de Douala au monde entier. S’il y a bien un remède en ces temps difficiles, c’est la musique de Papa Manu, de « Douala Serenade » à « Soul Makossa », en passant par « La Javanaise ».