[...] Plus loin, Branco parle de ces "impétrants financés par la société", qui "se sont vus octroyer un accès exclusif aux puissants afin de les contrôler au nom de la collectivité, dont sont financées chaque mois des centaines d’heures de travail dans un seul but"... Branco voudrait-il dire (…)
Juan Branco désosse Macron