C’est du « mepris de classe » et de l’incompetence d’insulter ses élèves ;le decalage « d’habitus » entre le milieu d’origine des enseignant.e.s et celui de la majorité des élèves est le terreau où pousse le desespoir. Les neurosciences prouvent que, d’evidence, sans bienveillance aucun (…)
À Taverny, les lycéens nous racontent les raisons de la colère