J’entends ce merveilleux reportage avec retard. Bravo au Professeur Chemla, il a tout compris. Il est magnifique. Ce travail me touche énormément. Oui, on juge une société à la façon dont on traite nos fous, nos vieux, nos incarcérés. Je suis très sensible, en tant qu’ancienne visiteuse de (…)
Qui cache son fou, meurt sans voix