moi aussi Didier je n’oublie pas le coup d’état de Pinochet c’est cette horreur totalitaire qui m’a ouvert les yeux lorsque j’étais pré ado et apprenait l’espagnol en 5ème plus tard je me suis "nourrie " des chants de lutte des Quilapayun, de Victor JARA, du CANTO GENERAL en musique de Mikis (…)
Didier Porte n’oublie pas le 11 Septembre 1973