Il y a de nombreuses années, je l’avais vu au festival JIM (Jazz in Marciac). dans un immense chapiteau qu’il avait traversé en jouant afin que les personnes sur les gradins tout au fond puissent aussi le voir de près. Toute la salle avait apprécié ce geste de "solidarité" (je ne trouve pas (…)
Didier Lockwood, quand l’oiseau s’endort