Jean d’O. n’a jamais eu de conscience politique, ni sociale d’ailleurs. Jeune, il était emprunt de vanité et infatué de sa personne. Ce n’est qu’avec l’âge qu’il s’est révélé un peu plus vulnérable et donc un peu plus humain, et son talent et son art littéraire ont été appréciés de tous. Mais (…)
Jean d’Ormesson au Rwanda : « des massacres grandioses dans des paysages sublimes »