C’est une souffrance. On s’oblige à continuer l’audition parce que quelque part on se dit que notre jugement serait malhonnête si on ne poursuit pas jusqu’à la fin. Mais ça en devient trop insupportable : des arguments spécieux genre on ne pouvait pas voter avec l’opposition de droite. Après on (…)
Aurélie Filippetti : « Le PS ne se relèvera pas »