Je trouve, à mon propre étonnement, cette émission bienvenue par sa portée iconoclaste : à l’époque de la sexualité présentée et vécue comme une performance, stéréotypée au plus au point, et où l’émancipation sexuelle a semble-t-il fait place à un marché normé, systématiquement explicite et consommable, (...)
« La guerre des sexes n’est pas finie »