Cette reprogrammation a une vertu (et pas petite), c’est de constater que la littérature érotique vue par Daniel Mermet était exclusivement masculine. Ça manque cruellement de femmes ! Où sont passées les Catherine Robbe-Grillet, Régine Deforges et autre Anaïs Nin ?… Pour ma part, ce sont elles (…)
La coulée douce (4) MADO