Macron défend, comme les libertariens aux États Unis, une « société sans statut », les contrats zéro heure, les indépendants loueurs de bras, tacherons, journalisés, payés à la mission, au chantier, sans protection sociale. On s’épuiserait à redire ici les dizaines d’aphorismes réactionnaires, (…)
Qui veut vraiment Macron ?