Et le "God save the Queen" au début c’est quoi ?
Peste ou choléra ? Spéciale élections : mon Amérique à moi♩♪♫
« C’est une idée qui me vient comme ça de temps en temps : quelqu’un me sourit, traverse la rue pour me serrer la main et me dit : "merci, sans vous, il manquerait vraiment quelques chose à notre pauvre monde." » Sempé (1985)
Le vendredi 23 avril, grande journée de mobilisation nationale pour l’abrogation de la réforme de l’assurance chômage, contre les licenciements et les suppressions de (…)
Un spa et un solarium minéral des #JO2024 valent-ils mieux qu’un jardin centenaire ?
Ça se passe à Aubervilliers, à quelques centaines de mètres de Paris.
Le projet qui (…)
À La Roche-sur-Yon, le collectif « Sauvons la Vallée de l’Ornay » appelle à manifester samedi 17 avril, contre le contournement sud de la rocade.
Le collectif (qui (…)
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Nos visages ne sont que des masques et notre apparence est un déguisement. La vérité, c’est les idées que nous avons derrière la tête mais nous les ignorons. Et pas seulement derrière la tête. Voilà ce qui intéresse Sophie, vous faire mettre des mots sur votre essentiel avec des questions faussement simples et vous étonner vous-mêmes. Et étonner chacun. Exemple : tout le monde se souvient de sa première fois. Mais avant la première fois, qu’est-ce qu’il y avait ?
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Risque de saturation, crainte d’impuissance. Face à la nouvelle vague de la pandémie, les soignants de l’hôpital public tiendront-ils une seconde fois ? C’est la grande inquiétude du pouvoir. Pour l’urgentiste Patrick Pelloux, « on doit paralyser le pays parce que les hôpitaux manquent de lits. » Manque de lits, manque de personnels, la déprime gagne avec un sentiment de trahison. Pourtant, au printemps, la pandémie avait entraîné un soutien enthousiaste et une prise de conscience du désastre des politiques de santé appliquées depuis des années. Il y avait là un élan unanime pour changer radicalement de logiciel. L’opinion était prête.
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Il y a cinq ans, la lettre d’une infirmière nous avait tous bouleversés. Clémentine disait à Martin Hirsch pourquoi elle démissionnait. Un incident insignifiant dans la casse globale de l’hôpital. Sauf que cette vidéo a été vue des centaines de milliers de fois, Clémentine a été invitée partout sur des télés et dans les médias. Le sujet n’était pas nouveau. La destruction systématique du secteur public dure depuis bientôt 40 ans, en application de l’idéologie néo-libérale. Ce, qu’avec d’autres, nous dénonçons depuis trente ans. Si la crise monstrueuse que nous subissons aujourd’hui entraîne des réponses difficiles, une grande partie des dysfonctionnements mortels qui se multiplient sont le résultat direct de cette idéologie criminelle.
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La crise est-elle une opportunité pour le capitalisme ? Va-t-il appliquer sa stratégie du choc pour nous faire avaler des choses qui nous semblaient impossibles il y a un mois ? Tout dépend des idées qui traînent dans le fond de l’air et de celles qui s’imposeront. Et justement, il y a, dans l’air, des idées qui pourraient nous être favorables.