he ho la police ! on ne frappe pas des femmes . on ne frappe pas des citoyens non armés, on ne frappe pas un syndicaliste qui a seulement le mégaphone à la main .... on ne laisse pas les " casseurs " qui sont venus sciemment encagoulés prendre la tête des cortèges déclarés ou scindent en deux (…)
Un printemps lacrymogène