« Le serpent qui dance » Que j’aime voir, chère impotente, de ton corps si flou, comme une saoule actrice fuyante, enfumant des sots, de tes captures ou se morfondent, tes astres anciens, malodorantes et furibondes, enchemisées de bruns, comme un empire qui s’éveille, aux vastes (…)
L’IMPOSTURE DES ÉCONOMISTES