Nos chers (très chers) banquiers ont réussi, comme cela arrive trop souvent, à prendre des risques importants en prêtant de manière irraisonnée à la Grèce, et après avoir profité et alors que le risque devenait trop important, à le transférer aux Etat. M. Lordon le dit très bien : un (…)
Syriza, le feu à la plaine ou le pétard mouillé ?