Merci pour cet hommage, fort et poétique, à Là bas si j’y suis mais, au delà à la radio, à la force de ses voix qui nous marquent et manquent tant lorsque le son s’éteint. Surtout, ne pas céder aux sirènes des images de la radio en video. La fin d’une magie...
il suffit de mourir pour qu’on vous aime