Et les syndicats, qu’en pensent-ils de ce qui se passe en Espagne. Je pense que leur cerveaux n’arrivent pas à assimiler, ni à comprendre ce mouvement. Mais nous nous passons très bien d’eux. Pouvoir parler sans les ballons, les slogans infantilisant et la musique, c’est absolument nécessaire (…)
Les syndicats invisibles