J’espère que les licenciées de chez Parisot toucheront le maximum aux Prudhommes. Quand on pense que ces ouvriers et ouvrières ont été licenciées sans aucune indemnité par la famille de la patronne des patrons, donc une des plus grosses fortunes françaises. C’est bien une guerre de classe (…)
Madame la MEDEF : une histoire de famille I