Dans "forces de l’ordre", il y a au moins deux mots dangereux. Et ce ne sont pas les déterminants. Je suis universitaire et cadre, pas de quoi être fier, non, mais quand je vois des policiers, je change moi aussi de trottoir. Pas par honte mais par souci d’éviter les problèmes. S’écraser, (…)
Gardes à vue : à bas l’abus !