Cher M Lordon, Merci tout d’abord de votre travail. Je suis néanmoins tout aussi admiratif de vos analyses qu’étonné de votre étonnement. Le défaut de prise de conscience devant cette crise ouverte et donc de votre point de vue profondément didactique est assez commun. L’exploitation du faible (…)
Le bon côté du doigt