habib meyer/ shlomo sand 1 partout ! Quel triste spectacle ! Dommage que l’hystérie du 1er a contaminé le second. Mais pourquoi Shlomo Sand s’est fourré le nez dans les fantasmes du crif, je l’avais tant aimé dans son rôle d’historien. Ces gens n’ont pas les bonnes définitions de la paix, (…)