BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ? - commentaires

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Le déserteur de Boris Vian (l'original ,c'est mieux )

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Cette chanson s'appelle : "À tous les enfants", elle a été chantée (entre autres) par Francesca Solleville.

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Des frisons à entendre l'admirable Jean Louis Trintignant. Merci Daniel pour cet excellent article.

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Ne serait-ce pas la Chanson de Craonne ?
Interdite par l Etat français

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

L'Utopie est la réalité de demain.

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Obligé de réagir malgré la date de parution. Arrêtez tout. Posez-vous et ne vous laissez plus embarquer dans leur folie. Laissez-les courir et sautez sur la moindre occasion de les emmerder. C'est dur au quotidien, mais on voit que la " paresse" prend de l'ampleur. C'est juste une question de survie.
Apprenez à consommer selon vos nécessités sans tenir compte de leurs désirs à outrance. Tout était prévisible depuis longtemps et c'est étonnant de bêtise de les voir reprendre des idées ( sur papier) des idées des années soixante-dix alors qu'ils les prenaient pour des charlots

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

le mieux serait peut - être d' aller vers la coulée douce, mais où ?
Tiens je consultais un missel de Giorgio Baffo .

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

La chute initiale écrite par Boris Vian est bien :
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que j'emporte des armes
Et que je sais tirer

À tous les enfants est aussi un texte de Boris Vian

Amicalement

Une remarque
On part à la guerre au son du clairon
On meurt à la guerre au son du canon
Les cercueils sont décorés par les poltrons

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Vous oublié le journal "La Gueule Ouverte " de pierre fournier paru en 1972
"le journal qui annoncait la fin du monde" avec les gugusses de harakiri et de charlie hebdo
le vrai pas le PQ d'aujoud'hui

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Merci Daniel pour ce mercredito qui ne déplairait pas aux amis de La Décroissance
www.ladecroissance.net
dont le sous titre rappelle une évidence que c'est aussi "le journal de la joie de vivre". A notre époque, ceci n'est pas rien, vu la sinistrose. En effet n'en déplaise aux grincheux, décroître n'est pas retourner en arrière...bien au contraire !
En attendant, total respect et admiration pour tous ces jeunes qui osent, qui bifurquent, qui rejoignent les luttes d'émancipation plutôt que de se vautrer dans la luxure et le confort petit-bourgeois comme écrirait Alain Accardo ... toujours de la décroissance

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Une autre chanson : Déserteur de Renaud.

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

Les deux derniers vers du texte du Déserteur dit par Jean-louis Trintignant ont été transformés en :
Que j'emporterai des armes
Et que je sais tirer.
Cela lui permet d'enchainer ensuite avec un autre texte incisif où il entend dresser un monument de la honte contre les fauteurs de guerre bien protégés au chaud quand les autres vont à la mort pour eux. Quelqu'un peut-il me dire la source de ce texte et quel en est l'auteur ?
Merci.

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

« L'utopie n'est pas l'iréalisable mais l'irréalisé » Théodore Monod .

BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ?

L'auxiliaire de vie qui est en moi se frotte les mains : Bientôt des renforts ! A Nantes, les gens ont tellement faim...qu'on ne trouve personne pour travailler. Pourtant, les boîtes prennent à bac-12.

En revanche, je préfère prévenir, il faut, comme dans chaque métier, quelques qualités : Fiabilité, adaptabilité, persévérance, pas de répugnance pour les fluides corporels. Et si la rémunération a évolué en dix ans, on est au mieux à 11,50 euros de l'heure. Un salaire, sans les primes, dont un convaincu de la (nécessaire) décroissance peut se contenter.