Quand l'instituteur sort son revolver : la pédagogie Freinet, une boussole pour l'émancipation des plus modestes - commentaires

Quand l'instituteur sort son revolver : la pédagogie Freinet, une boussole pour l'émancipation des plus modestes

Après Freinet et les classes co-opératives, il y a eu Oury et la pédagogie institutionnelle qui tient compte des avancées de la psychanalyse. Vous devriez en inviter des représentants. Il y a eu une école primaire publique, à Javrezac, qui a été fermée par la maire. C'était un exemple merveilleux de réussite pédagogique.

Quand l'instituteur sort son revolver : la pédagogie Freinet, une boussole pour l'émancipation des plus modestes

A mettre en accès libre ou permettre d'offrir, une fois...
Merci

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Et puis j'en ai un peu marre de me prendre le chou à trouver quelque chose à dire.
Lb c'est un peu comme une drogue...

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Répéter inlassablement que Freinet, c'est Célestin ET Elise.

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Bonsoir, vous pourriez mettre ce reportage en accès libre. On pourrait le faire circuler. D'avance merci. Guy

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Comme j'aurais aimé avoir Laurence De Cock comme prof ! Merci pour ce bel entretien vif, précis, vivifiant. TOUTE l'éducation rationale devrait s'en inspirer ! vite, c'est urgent. Mais hélas......

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MAGNIFIQUE Laurence DE COCK ! Comme j'aurais aimé l'avoir comme prof ! Merci pour ce bel entretien vif, intelligent, précis, vivifiant. TOUTE l'éducation nationale devrait s'en inspirer, là tout de suite, vite ! Merci.

Quand l'instituteur sort son revolver : la pédagogie Freinet, une boussole pour l'émancipation des plus modestes

On essaye de leur imposer les méthodes passagèrement à la mode mais tout ce dont ils risquent d'être victimes, c'est du mépris de la diva locale, autrement appelée « Inspecteur de l'Éducation Nationale ».

J'ai vu et entendu, de mes oreilles entendu, une inspectrice affirmer péremptoirement à un Professeur des Écoles, il y a moins de quinze ans de cela, en haussant les épaules : « Ah... Vous faites encore des dictées ! Passons... ».

Aujourd'hui, l'exercice de la dictée est rendu quotidien par les textes officiels.

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Le lycée français enseigne Freud, mais pas le plus grand des philosophes français, le bourreau du cartésianisme, le curé Jean Meslier.

Autant dire que l'enseignement de la philosophie par la République Française est une escroquerie, doublée d'une forfaiture.

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J'ai connu une instit qui utilisait une méthode inspirée de Freynet, qui s'appelle pidapi. C'est un système de fiches par matière que l'enfant travaille à son rythme , puis il s'auto-evalue avec des couleurs. Il semble qu'au primaire les enseignants sont assez libres de leurs méthodes pédagogiques.

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Un aperçu du rôle du texte libre dans la classe Freinet :
http://marine.baro.free.fr/wordpress/?page_id=4279

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Merci pour ce magnifique entretien, je vais acheter et conseiller le livre à mes ancien.ne.s camarades de la Barigoule, école genevoise-malheureusement privée et plus du tout populaire, mais merveilleuse et marquante- dont la pédagogie est issue de la pédagogie de Freinet. De quel film sont tirés les extraits ? Merci

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Et le gars qui a viré les Freinet de l'instruction publique est Anatole de Monzie, dont les fameuses "instructions" de 1925 constituent la base incontestée des programmes de philo jusqu'à ce jour, faisant encore vibrer d'émotion républicaine les prof.fes les plus conservateurices...

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L'esprit critique développé par nos professeurs et le revolver sont de bons outils pour résister voire qui sait, changer le monde
Merci pour cet entretien ... instructif, passionnant

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Merci pour ce superbe beau film, un vrai beau film de Noël, plein d'espoir

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Bonjour,

Le problème n'est ni l'apprentissage, ni l'enseignement professionnel. C'est le statut de l'élève. Pour résumer, aujourd'hui, en France :

– Un apprenti dépend de son entreprise. Pas d'entreprise, pas d'école. Donc, si la boîte ferme, si le patron et l'apprenti ne s'entendent plus ou tout autre choses, l'élève est des-co-la-ri-sé ! à 15, 16 ou 17 ans, c'est fâcheux...

– Un lycéen professionnel apprend également un métier, effectue des stages en entreprises (beaucoup), et dépend de son lycée pro, donc de l'Éducation nationale, qui est quand même une institution plus solide qu'une entreprise, même vertueuse.

Pas de jugement de valeur sur quoi que ce soit ici, mais la nécessité d'un statut protecteur, d'un environnement scolaire adapté à l'âge des élèves, d'une formation de qualité, variée et équilibrée, pour de futures travailleurs et travailleuses qui pourront prétendre connaître un métier pour y évoluer et non occuper un emploi.

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Très bel entretien entre Daniel Mermet et Laurence De Cock sur un sujet essentiel, l'éducation nationale, si malmenée actuellement.
Des têtes bien pleines et bien faites, en suivant un enseignement général de qualité, dans les collèges et lycées professionnels n'est pas incompatible avec l'apprentissage, bien au contraire.
Dans le programme de la France Insoumise une transformation complète était prévue, pour développer ce secteur longtemps laissé à l'abandon. Des réformes importantes étaient également prévues pour l'enseignement supérieur, pour le monde Universitaire.
Ce n'est certainement pas ce gouvernement qui redonnera à l'enseignement public, ses lettres de noblesse.

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Peut- être certains de vos élèves auraient pu aussi réussir comme médecins, avocat, architecte, artiste peintre, chef d'orchestre, .... , si la majorité d'entre eux, encore très jeunes, n'avaient pas pour des raisons évidentes été "dirigés" vers une filière professionelle. me trompe je ?
Tout ceci ne remet pas encause la qualité de l'enseignement que vous avez délivré, ni l'utilité sociale d'un corps de métier respectable.

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Entretien super intéressant.
Vue de mon petit bout de lorgnette , le corps en mouvement aide à structurer les apprentissages.

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Bonjour à toute l'équipe,
je souhaite réagir sur les commentaires que votre invitée a fait sur l'apprentissage, pendant 30 ans j'ai été artisan dans le bâtiment (plombier) et j'ai eu en formation environ 10 apprentis et je peux vous assurer de leur désir d' apprendre un Métier qualifié et que le principe de l'apprentissage leur convenait très bien, pour beaucoup d'entre eux cela leur a permis de construire leur vie . Ces jeunes dans une très large majorité avaient un niveau scolaire dans la moyenne mais étaient fiers d'apprendre un métier. La formation par l'apprentissage a toujours existée bien avant le "marché de l'emploi" et je peux témoigner qu'aucun maître d'apprentissage ne forme des jeunes en fonction de ce principe ! de mon point de vue votre invité méconnait le monde de l'apprentissage.
merci pour vos émissions et merci d'exister
Alain Legrand

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https://www.youtube.com/watch?v=siIaRfcDevY&ab_channel=SakiAuroreComp%C3%A8re
Merci Daniel. Freinet a été un grand pédagogue. Fort de son passé de soldat engagé dans la guerre meurtrière de 14/18, revenu gazé, ayant vu mourir plein de jeunes à qui on avait enseigné l'amour de la patrie mais aussi l'obéissance aveugle à l'autorité, qui les a conduit au sacrifice de leur vie. Ce qui l'avait amené à réfléchir. Pourquoi instruire des jeunes qui vont périr sur un champ de bataille ? La pédagogie de Freinet est toujours vivante, bien que très contrôlée par les autorités et on comprend pourquoi. C'est l'envers de l'instruction actuelle où l'on fabrique des clones .. Sarkozy voulait supprimer l'Histoire !!