Quand George Orwell prenait les armes contre Franco - commentaires

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Bonsoir à Tous !!!.....

Merci Olivier, quelle clarté dans ta pensée ..... J'avais acheté le livre de DURRUTI, et tout cela est véritable !!!..... Chapeau Besancenot, et merci encore d'éclairer (un peu) la brume qui embarrasse le cerveau de millier de gens en ce BAS monde !!!.....
Merci, Daniel de consacrer un peu de temps à ces personnages comme François Ruffin, lui-même, qui va nous emmener avec lui et beaucoup d'enthousiasme !!!.....
Pierre.

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Merci pour cet exposé. La question du dilemme relevé au départ mais finalement non résolue au moment où il devient crucial est peut-être l'une des principales cause de l'échec de ces 3 ans de révolution ?
Ce dilemme en particulier interpelle. En plus de tout le reste, à défaut de règle il oblige quand même à penser les conditions de la révolution, la vitesse d'avancement du processus et à prendre conscience des rapports sociaux en présence ... par-delà la soif de révolution et d'émancipation

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Et pour beaucoup.... ce fût l'exil en France pour les plus pauvres, enchainer avec une nouvelle guerre (39/45), avec les camps tenus par les flics français, avec la menace d'être déportés en Allemagne, avec l'impossible retour pendant 40 ans, avec une vie dans les mines de charbon... oui je parle de mon Pépé et ma Mémé !
NO PASARAN

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Les paroles de Durruti me parlent au plus haut point.
Je compte sur moi-même pour résoudre mes problèmes.
Évidemment, je ne crois pas en ces politicards parasites qui sont sans doute incapables de faire autre chose que de flouer les gens. D'ailleurs, le plupart pour ne pas dire la quasi-totalité appartient à la bourgeoisie locale et rares sont ceux issus du peuple et surtout sincères : ils sont vite noyés dans ce panier de crabes ! Dans les semaines à venir, nous arrivons à un moment où ces gens-là vont nous sortir leurs violons pour tenter de séduire le plus grand nombre avant de les ignorer ou effectivement les trahir, une fois qu'ils sont installés pour 5 ans dans la place qui va leur rapporter du fric issu d'argent public, plus les éventuels pots-de-vin et autres avantages plus ou moins importants issu des gens qui ont corrompu tout ce système nauséabond. Ceux qui nous méprisent ne méritent donc aucune considération.

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Merci pour ce contre pied Rustre, c'est par ailleurs pour cela qu'ils ont commencer a payer les esclaves qui allait devenir des compagnons à partir du XII eme siècle, deviendront des ouvriers, puis des salariés ensuite, pour devenir uberistes désormais …parce que la main d'œuvre n'est plus un critère de valeur économique depuis 1995 (chute du mur de Berlin), il n'y a qu'a observer l'indice de croissance de 2021 !! avec un taux de précarité depuis longtemps jamais atteint, pour que revive la 3eme république de Thiers !!

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Merci Olivier pour cette belle émission , un travail de mémoire nécessaire pour comprendre le présent et une source inestimable d'inspiration !!
Salut et Fraternité

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Merci à Là bas, merci à Besancenot pour cette salutaire et lumineuse révision de nos "classiques" !

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Juste un petit rajout au commentaire d'Olivier, à propos de la myriade de communautés agricoles et coopératives ouvrières, non seulement ces salauds d'ouvriers et paysans se partageaient les bénéfices équitablement en l'absence de leurs saigneurs et maîtres, mais en plus ils ont fait exploser les rendements dans quasi tous les secteurs de cette économie révolutionnaire : ça marchait du feu de dieu !
Il était grand temps que franco ramène tout ce petit monde à de plus raisonnables dispositions et avec l'aide précieuse de mussolini, hitler et staline réunis. Étonnant, non ?
Si ce n'est déjà dans ses cartons, Olivier Besancenot, pourrait nous conter, avec le talent que chacun lui connait, une autre révolution un peu oubliée qui s'est déroulée de l'autre côté de l'atlantique, au moment où la veille Europe s'étripait joyeusement quelque part à Craonne, au chemin des dames, une révolution orchestrée par des types basanés, sous de larges sombreros abrités, olé !

Quand George Orwell prenait les armes contre Franco

Encore un beau moment d'instants de lutte.. Merci Olivier. Sans tremolos, juste la vérité de ceux qui en ont marre d'avoir encore et toujours des "rongeurs" au dessus d'eux pour leur boulotter le cerveau !! Lydie Salvayre a écrit un magnifique livre qui lui a valu le Prix Goncourt en 2014, à ce sujet : "PAS PLEURER", sur l'année 36 dont sa mère, qui avait 15 ans alors, a été le témoin de cette tentative d'émancipation des paysans et ouvriers espagnols. Le gouvernement de Blum avait refusé d'envoyer de l'aide aux républicains, ce qui aurait pu freiner les fascismes italien et allemand.. C'est bien de rafraîchir les mémoires car le passé hélas revient périodiquement si on cesse d'être vigilant à ce que trame la pulsion de mort sous des aspects lénifiants..!! On en veut encore Olivier.!!