Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série - commentaires

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

un prix d'excellence pour Olivier....

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

Merci beaucoup Olivier.
Connaitre d'où on vient, pour comprendre où l'on va....
Importance de tous ces gens, chercheurs, historiens, intellectuels etc... qui passent leur vie à la recherche de la vérité, de la connaissance, pour nous permettre l'émancipation nécessaire à notre propre construction et à une certaine liberté.
Votre rôle Là-Bas participe en grande partie à cela.

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

Le problème en Guadeloupe et Martinique, c'est les béqués qui détiennent le pouvoir économique. Comme le dit Olivier, ce sont des descendants de riches familles esclavagistes, le groupe Bernard Hayot par exemple. Ils font fluctuer les prix à la hausse pour satisfaire leurs profits et ils sont responsables de la cherté des produits de première nécessité. Je regrette que cette situation ne soit pas davantage évoquée.

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

Les Antillais nous montrent l'exemple de ce qu'il faut faire pour mettre fin à cette situation complètement cauchemardesque ! À quand la même chose en métropole au lieu de simplement tenter de sauvegarder son petit confort et ses petits privilèges qui, de toute façon, disparaîtront d'une manière ou d'une autre ???

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

Merci beaucoup Olivier pour ce rappel fort nécessaire. Et merci de citer le travail de G. Pago, intellectuel engagé et professeur d'histoire passionnant lorsque j'étais à la fac...antan lontan. ;)

Comment les Antillais ont mis fin à l'esclavage : première lutte d'une longue série

Fils d'Antillais et fier de ma créolité je peux juste rappeler que les Antillais sont encore et toujours comme le disait De La Boétie sous le douloureux paradigme de la servitude volontaire...