Le monde merveilleux de la mode - commentaires

Le monde merveilleux de la mode

Bonjour,

Quelles références le micro pour le reportage ?
Oui, je cherche un bon micro...et très chouette si vous me donner la référence.
Merci.

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Miroir aux alouettes où vont se prendre la plupart de ces participants….
Merci pour ce reportage édifiant sur ce monde superficiel et dangereux.

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Que de dégâts ! ! ! ! !

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Cela me rappelle de loin le milieu de la recherche... (sans aller jusqu'a l'esclavage !)
De nombreux jeunes interessés, qui essaient en étant payé des clopinettes ; de nombreux thesards travaillent 9-10h par jour, viennent le weekend, tout ca pour un peu moins qu'un smic.
Puis quelques uns (peut-etre les + talentueux mais surtout ceux qui ont les bons contacts et savent bien se vendre) réussissent a decrocher un poste, toujours assez peu payé, mais on accepte car c'est notre passion !

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Merci Anaëlle, Jonathan et La Bas de nous proposer des reportages aussi originaux et d'une aussi grande qualité. Continuez !

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Bravo pour ce très bon reportage (moi je serais pour qu'il soit en accès libre).
Je ne sais pas s'il y a une formation aux métiers de la mode dans l'éducation nationale mais c'est le genre de reportage qui devrait faire partie du cursus pour que les jeunes se rendent compte de la réalité de ce milieu.
De la même façon un documentaire comme "la sociale" devrait être obligatoirement vu et étudié à l'école (niveau lycée par exemple) comme ça l'éducation nationale formerait des citoyen-ne-s éclairé-e-s qui auraient tous les arguments pour s'opposer à cette "réforme" des retraites qui n'est ni plus ni moins qu'un véritable hold-up.

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Reportage vraiment très intéressant ! J'ai eu le sentiment, en regardant ce reportage, que le secteur de la mode repose sur énormément de fantasme.

Il est surtout question des conditions de travail des mannequins femmes. Dans ce reportage, on voit aussi beaucoup de mannequins hommes. Leurs conditions de travail sont-elles les mêmes que celles des femmes ?

On voit aussi dans ce reportage que certains mannequins commencent très jeunes, pendant l'adolescence. On fait donc travailler des mineurs. Mais j'imagine qu'il y a aussi des enfants mannequins puisque la mode s'intéresse beaucoup aux enfants, de nos jours. On y ferait alors travailler des enfants. Est-ce bien le cas ? Si oui, dans quelles conditions ?

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bravo ! très bon reportage
coulisse dont on ne parle jamais. Et pour cause !
esclavagisme organisé.
Je pense à ces hommes et femmes qui traversent la méditerranée pour atteindre
l'Eldorado...
Chez Arnaud c'est "la chance d'être là"
A gerber !!!...

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Finalement que tu es le look pour être mannequin ou que tu travailles à faire des heures de ménages pour l'industrie du luxe ou les hôtels de même renommés, tu es considéré de la même façon : en esclave.
Plus ils en gagnent, plus ils exploitent !!!

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Vous condamnez volontiers le (très) jeune travailleur au lieu de vous en prendre à l'exploiteur. Pourquoi ? Vous parlez de conscience politique ? Alors permettez moi de vous rappeler que vous en prendre au travailleur ce n'est pas de gauche.
Quelle expérience avez-vous de la mode pour vous poser en juge des mannequins ?

Ne pensez-vous pas que vous faites surtout le jeu des exploiteurs en déclarant que les mannequins sont au dessus de tout jugement et méritent le mauvais traitement qui est le leur au nom d'un prétendu trait de caractère ?

Très cordialement,

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Pourquoi "précieuses ridicules" ? Il y a aussi des hommes dans ce métier et des clients qui achètent les tenues soit pour eux-mêmes soit pour leurs compagnes. En fait, les mannequines sont des sottes, les acheteuses ridicules. Ne surnagent que les exploiteurs, majoritairement masculins et un peu moins ridicules ou sots puisque exploiteurs.

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Bonjour Luc,
L'anthropologue en question se nomme Giulia Mensitieri.
Cordialement,

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Reportage très intéressant.
Les mannequins , qui par leur mensuration/beauté/jeune âge aliènent le corps de milliers de femmes n'entrant pas dans le diktat , sont elles aussi aliénées par leurs conditions de travail. C'est quand qu'on arrête le massacre ? ( je ne parle pas des hommes qui n'ont pas à vivre avec l'injonction d'être beau/maigre dès leur plus jeune âge)
Il y a aussi à enquêter dans le milieu crade du théâtre/du cinéma qui connaît le même schéma : des comédiens à la course aux cachets, des têtes d'affiches surpayées et les autres dans la misère, quand il ne faut pas coucher pour obtenir un rôle....mais ils ont la chance, eux, d'en être.
Quand au monde de lard contemporain, c'est idem.
Comment faire face et avec quelles armes les classes populaires peuvent-elles briser ces miroirs aux alouettes ?

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Très instructif, merci !
Je me doutais bien qu'il y avait un sérieux décalage entre la vitrine et l'arrière-boutique, mais pas à ce point-là.
Et le reportage ne parle que des abus financiers. Dans un tel contexte, j'imagine que les abus sexuels ne sont pas bien loin et que l'on peut faire un parallèle avec le cinéma...

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Ce reportage est vraiment instructif et devrait être diffusé à plus grande échelle pour dénoncer ce dangereux miroir aux alouettes. Ma fille, comme beaucoup de ses amies de son âge, a participé une fois à ce type de concours Elite en banlieue parisienne. « Bien-sûr, Papa, c'est pour rire, pour connaître le frisson d'une expérience singulière ». Quel inconscient j'étais ! Heureusement, elle n'a pas été sélectionnée.

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Bonjour,
J'ai été très touché par la dernière phrase, citation d'une anthropologue. Pourriez-vous m'épeler son nom ? J'entends julia memdji thierry, mais ça ne doit pas s'écrire comme ça.
<< J'accepte de ne pas être payé parce que j'ai la chance d'être là. >>>

Cette phrase résonne en moi...

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Un métier de rêve avec des modèles de rêve pour des maisons de rêve mais la réalité ne fait pas rêver ! bravo pour ce super reportage qui nous dépeint l'envers du décor.

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Stupéfaite ! Proxénétisme... ? Non. Esclavagisme. A quel degré de conscience sociale (pour ne pas dire politique) sont ces jeunes gens ? Le degré zéro ? Probable. Mais sûrement le degré 100 du narcissisme.
Ce n'est pas un jugement, à ce niveau là on ne juge plus, la seule réponse admise par le milieu étant "La chance d'être là" !!!
Merci pour cet éclairage hallucinant d'une réalité qui affiche un cynisme aussi grossier que brutal.
Beau travail.

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Excellent reportage, merci.

Pendant que Bernard Arnault bat des records de profits, les pauvres mannequins s'endettent pour réaliser leur rêve de notoriété éphémère...

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En gros, les jeunes se bousillent le corps, ne gagnent pas d'argent, empilent les heures de travail, sont corvéables à souhait, pour... ? J'ai pas compris ... Pour faire le bonheur malsain d'une poignée de précieuses ridicules ? Rappelez-moi en quelle année nous sommes exactement, parce que j'ai peur d'avoir loupé quelques siècles là...