Jean-Pierre Marielle a crevé l'écran - commentaires

Jean-Pierre Marielle a crevé l'écran

Moi c'est Claudia Délacuste, j'ai fait l'objet d'une arnaque sur meetic par un Laurent PAROUX qui au début me disait habiter à Auxerre dans le 89 puis au bout de quelques semaines il part en Afrique pour affaire et c'est là que mon cauchemar commence. Il m'a arnaqué d'une somme de 571.000€ mais heureusement qu'une amie m'a tenir compagnie pour ça. C'est alors que j'ai téléphoné à Interpol de france Lyon pour faire une plainte j'ai expliqué tous ce problème a Interpol de Lyon qui ma fait prendre contact avec un inspecteur générale de la police Interpol cybercriminalité en collaboration directe avec la police Interpol de france. J'ai été remboursé tout l'argent perdu suivi d'un dédommagement de 50 000€ qui m'a été offert par le gouverneur de la CEDEAO. J'ai bien eu de la chance car j'ai échappée belle a cette histoire d'arnaque alors je suis ici juste dans le but de vous faire bénéficier de cette aide précieuse. Cet escroc a été arrêté et j'ai réussie à bénéficier d'un dédommagement qui m'avait été arnaqué. Pour tout arnaques dont vous avez été victime je vous conseille de faire comme moi en prenant contact avec le service Interpol.
Voici le contact mail de l'inspecteur qui m'a aidé :

lieutenant.georges.muller@outlook.fr

Contacter ce monsieur pour votre aide et un remboursement immédiat.

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Petit clin d'œil à Arrêt sur images qui rattrape le coup en permettant à la critique féministe de se développer :) https://www.arretsurimages.net/emissions/post-pop/misogynie-un-accuse-nomme-jean-pierre-marielle
Pour moi ce genre d'extrait sur Là-bas est dû à l'influence de Mermet, qui, j'imagine, comme beaucoup d'hommes de sa génération (qu'on retrouve en commentaires), a grandi sexuellement dans un carcan puritain et pour qui ces scènes sont une libération, une ode au désir victorieux.
En grandissant dans un environnement hyper-sexualisant et réifiant, insidieusement au bénéfice d'un plaisir masculin, on ne peut pas voir la scène de la même façon. Et de manière générale, en tant que femme la libération consiste souvent à se réapproprier son corps et SON propre désir (quel poncif !), avouez que ce n'est pas le cas sur ces images !!

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Je relaisse ici un commentaire après le visionnement de ce très bon travail d'Arrêt sur Image que je vous recommande : https://www.arretsurimages.net/emissions/post-pop/misogynie-un-accuse-nomme-jean-pierre-marielle
Je suis contente de voir que, même si les défenseurs de cet extrait attaquaient les filles directement (''Grenouilles de bénitier, coincée du cul, puritaines...'') alors qu'elles mêmes ne font que dire leur consternation, je n'étais pas complètement à l'ouest (à se faire agresser parfois on doute de soi-même, comme la fille dans la scène quoi).
J'interviens aussi parce que, LBSJS :c'est quoi cette réponse ? On attend pas de l'humour naze on pose des questions.
Je ne sais pas si vous serez capable un jour de faire une vraie réponse aux questions formulées ici par des femmes. On dirait que vous n'assumez pas votre choix, c'est vrai qu'au fond vous ne pouvez pas l'assumer cette scène est sexiste et vous ne pouvez pas dire calmement : oui nous sommes pour la domination masculine. Ce serait gênant n'est-ce pas ?
En tout cas, j'ai renouvelé mon abonnement à Arrêt sur Image et je ne renouvellerai pas celui à LBSJS.

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Ok, Jean-Pierre Marielle est mort, qu'il repose en paix, lui qui disait en 2000 avoir bien conscience qu'il a tourné pour gagner sa croûte de nombreux nanards. Merci pour la petite note de bas de page pour saluer le talent de Jeanne Goupil, la compagne du réalisateur Joël Seria, qui a peint toutes les toiles censées être peintes par le personnage des Galettes de Pont-Aven.
Pour moi, le féminisme ne consiste pas uniquement à traquer le patriarcat et la culture du viol y compris là où ils ne sont pas, mais à ne pas oublier de rendre hommage aux femmes, pour d'autres talents que leur arrière-train plus ou moins callipyge.

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C'est pourtant vrai que :
" un homme peux paraître lourd et pathétique et se croire lyrique. "
quand il considère que :
" Un vrai homme ne devrai pas se faire prier comme ça. "

C'est quoi "un vrai homme " ?

Oh Dieux, que cette scène est fabuleuse !
Merci Là-Bas.

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Qui c'est qu'a eu l'idée de montrer ce passage du film ? Vous vous doutiez que les vieilles consciences de grenouilles renfrognées allaient se réveiller en sursaut. Je ne sais plus dire si ces commentaires sont affligeants ou désopilants mais la volonté de moraliser est lisiblement prégnante. ça fait peur !

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A quand une émission de LBSJS sur le sujet ? Plutôt que de traiter en avance les critiques de puritaines ? Puis de laisser un commentaire ironique et lourdement caricatural ? C'est quand même frappant de voir que ce débat revient systématiquement (i.e. dans les commentaires), et que la seule réponse de LBSJS est de se positionner dans le camp des gens cool et ouverts dans un débat qui les opposeraient uniquement et simplement aux faux-culs de "nouveaux puritains". Or qui voudrait brandir cette belle pancarte de "puritain" pour prendre part au débat ? Personne. Et pourtant, il y a bien quelque chose dont il serait intéressant de débattre, il me semble.

(i.e. c'est quoi la cartographie idéologique actuelle sur le thème du féminisme, de la sexualité, des rapports hommes-femmes, du rapport des gauches avec ces thèmes-là, du rapport des jeunes et des vieux sur ces thèmes-là, y a-t-il vraiment une opposition binaire entre les libertaires et libertins tout parfaits des années 70 et les "nouveaux puritains" d'aujourd'hui ?)

RIP Jean-Pierre Marielle.

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PS : Autre scène choquante, mais pour d'autres raisons : https://www.youtube.com/watch?v=O0Zyzh0uBRU
Mais pourquoi au diable tant de viande sur la table !!! Les seuls végétaux présents sont des poivres, des cornichons et le blé présent dans la bière.
Comment peut-il donner la leçon sur un tel tas de cadavres !!! La voila la cause principale du réchauffement climatique ! Est-ce seulement éthique de manger de la viande ? non seulement pour les hommes mais pour les veaux, vaches, cochons, volailles ?
Ah ... c'est vraiment une autre époque. Et ainsi de suite... (Ego quand tu nous tiens.) ;-)

Mais c'est pas grave, on reviendra pour les autres articles.

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Comme j'ai pas vu le film (je suis curieux de savoir combien ici ont aussi comme moi réagis sans voir le film), cette scène peut tout de même avoir son sens pour précisément dépeindre un personnage qui part en vrille pour rebondir(?). Mais selon ce que je vois sur la bande annonce, ça a l'air d'être un artiste romantique qui précisément perd son inspiration à cause du train train quotidien. C'est peut-être d'ailleurs pour ça qu'ils sont ensemble : Elle a besoin du fougueux et rêveur et il avait besoin de stabilité et sécurité. Dans ce cas la, elle a un sensé pour montrer comment il redevient gamin pour dans plusieurs scènes plus tard il sublime tout cela. Et dans ce cas j'aurais peut-être préféré l'autre scène classique du derrière : https://youtu.be/-NO6_w2YV7M?t=236 qui est similaire mais ou je crois la femme fière de constater le contrôle qu'elle possède sur l'homme. (Vais-je à mon tour me faire taper dessus par d'autres AMG ? Ai-euh !)
Je suppose donc que comme cette dernière scène est archi-connue, la-bas a voulu varier mais au risque de choquer.

Mais pour ça on aurait pu peut-être illustrer avec plein d'autres scènes aussi. Du coup pour éviter de choquer hors contexte je pense ces extrait bien, mais bien plus parlants pour illustrer le talent d'acteur de J-P Marielle.

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C'est vrai qu'en 2019 , je comprends mieux un point de vu féminin sur comment dans cette scène un homme peux paraître lourd et pathétique et se croire lyrique.
De mon point de vu (masculin), je trouve pas très original sa technique de séduction ... en gros.. c'est la technique du pied dans la porte et de se faire prier qui marche qu'avec les personnes vulnérables. Un vrai homme ne devrai pas se faire prier comme ça. Pas terrible pour un vieux monsieur moustachu qui se conduit encore comme un gamin. La "valeur ajouté" c'est de faire du lyrisme sur et hop c'est sensé dédouaner.

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Lorsque l'on vient sur cette page pour lire d'éventuels hommages eu égard au talent d'acteur de Jean-Pierre Marielle, et que l'on tombe que sur des commentaires qui tournent autour de la scène choisie pour lui tirer une dernière révérence, tout ce débat m'a paru irrespectueux, inconvenant, inopportun, inapproprié...
Comme quoi l'élégance, on ne la place pas tous au même niveau, et l'on peut écrire les pires horreurs dans un "jolie" français ;
Bref, je vous laisse à votre polémique à 2 sous et déplacée, moi je préfère tirer mon chapeau au grand acteur que JP Marielle a été.

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"l'imaginaire"... elle est belle la pirouette ! Les films, comme les livres, les pièces de théâtre, les chansons, ne font que parler de notre humanité, ils renvoient à (ou partent) d'expériences vécues, what else ?
Polémique à 2 balles... choses bien plus graves etc... ce dont on parle ici n'est pas si léger que ça, pas si anodin, autrement les réactions ne seraient pas si vives !
Pourquoi en venir à l'invective ? Pourquoi stigmatiser celles et ceux qui font des commentaires différents de l'admiration de commande pour tout ce qu'a pu jouer un Jean-Pierre Marielle, comme si c'était un crime de lèse-majesté, de lèse-cinéma. Je n'ai rien lu ici qui ait quelque chose à voir avec le puritanisme, les culs serrés ou autre joyeuseté méprisante accolée à l'opinion contraire.
Les culs serrés ne seraient-ils pas plutôt celles et ceux qui ne souffrent pas une autre façon de voir que la leur ?
Que les tenant.e.s du choix de cet extrait en hommage à l'acteur le défendent, okay, pas de problème, mais pas en s'attaquant ainsi aux personnes qui le trouvent mal venu et qui, elles et eux, n'ont critiqué que le choix, sans attaque ad hominem.
Un peu d'élégance et de maturité, ça serait pas de refus.

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Du fond de la cave, je réclame à corps et à cris de voir des mecs à poils sur LBSJS ! ah ah ah ah ah

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Putain ! mais qu'est ce c'est que tous ces commentaires de puritains, de vierges effarouchées..., MERDE !,c'est juste un extrait de film des années 70, pour admirer l'interprétation d'un personnage IMAGINAIRE, un jeu de rôle de JP Marielle, il faut replacer cette scène dans son contexte, c'est à dire : du cinéma, un film. pffff
les polémiques à 2 balles, il y a d'autres sujets bien plus graves, non ?

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OUI ! le haut du Pavé.je l'ai vécu. faut dire,j'ai jamais vécu dans un milieu coinçé !les milieux prolos français du 20ème siècle en ont connu des droles. mais ils ont vite compris,après la 2ème guerre qu'il fallait se libérer. dans les années 60 et 70, ça a chauffé dur,et avec Humour et Amour.J'en viens. Grobiz. henri

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Bon j'arrête là la lecture des commentaires puritains grande largeur : vous me fatiguez et surtout m'épouvantez de votre vision rétrécie et surtout obsessionnelle de voir des viols partout !

Marielle savait tout jouer avec grande finesse, faut croire que tout le monde ne comprend rien à la finesse ou ne la voit pas.
……………………………………………………………………………signé une femme libre… et maintenant vieille.

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Oui, nous voila démasqués, LA-BAS c'est plein d'hommes ignobles, des cochons harceleurs et violeurs de très jeunes filles innocentes. C'est bien sur la raison qui leur a fait choisir cet extrait répugnant. Quand aux femmes de l'équipe, du fond de la cave où elles sont enfermées, elles vous remercient de votre solidarité éclairée.

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"l'époque de libération sexuelle où les femmes tenaient LE HAUT DU PAVE" ? Tout est relatif... ça c'était pour la vitrine. Dans l'intimité des ménages, on était bien loin de ça et on l'est toujours car l'oppression est lourde et insidieuse et les mentalités ne changent pas si vite. Mais si ça vous arrange de "voir" les choses ainsi, cela vous regarde.
Le film, comme tous les films, témoigne d'une époque, d'une société. Le choix de cet extrait pour rendre hommage à Marielle en dit plus long sur cell.eux qui en ont décidé à Là-bas qu'il.le.s ne le pensent, car enfin, tout le monde l'aura compris il faut l'espérer, ce n'est pas le film qui est critiqué mais bien le choix d'un de ses extraits pour rendre hommage à un comédien disparu, choix très très mal venu, ainsi que l'ont signalé beaucoup dans leur commentaire.
Alors, une réaction, à Là-bas ? Quoique j'aie peur de son contenu...

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Les femmes (jeunes surtout mais pas que) peuvent avoir envie physiquement d'un homme mais décider de ne pas engager de relation physique pour plein de raisons. Exemple : parce qu'elles ont conscience que cette envie n'est probablement que passagère, donc pas assez "intéressante", ou par exemple parce qu'elle risque de leur créer des problèmes d'ordre social etc.
De là l'ambivalence qu'elles peuvent ressentir par rapport à leur corps qui réclame, mais une tête qui rationalise la chose et se refuse à l'acte. Il n'empêche que céder à son corps qui réclame (souvent par peur de refuser) quand la tête n'est pas prête, peut tout à fait donner le sentiment d'avoir été abusé, forcé ou violé in fine (surtout si l'homme a un désir brutal)…
Les hommes devraient avoir l'intelligence de lire ces refus mêmes légers, qui veulent dire non et les respecter. Car un refus léger est un refus net qui ne s'assume pas.
Une femme qui est ok ça se sent bon sang ! C'est sans ambivalence. C'est assumé, c'est ardent. Et tellement plus intéressant pour tout le monde !
Donc là je suis très gênée de cette vidéo ! Une femme ou un homme avec qui on veut s'engager physiquement, ça se séduit, et la « preuve » du consentement (tête) ET de l'envie (corps) doivent être sans ambivalence.
Là il n'y a pas de consentement mais une peur du refus… Donc ça me gêne beaucoup pour elle et je trouve ça très violent.

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" Les galettes de Pont Aven" a été interdit aux moins de 16 ans lors de sa diffusion, ce qui démontre que les scènes dites érotiques du film ont choqué la censure de l'époque, même dans le contexte plus permissif des années 70.
Ceci dit, Jean-Pierre Marielle n'a pas joué que des rôles de dragueurs compulsifs. Je me souviens l'avoir trouvé génial et hilarant dans le film " signes extérieurs de richesse" où il jouait le rôle d'un escroc comptable d'un vétérinaire joué par Claude Brasseur qui subissait un contrôle fiscal d'une inspectrice des impôts des plus coriaces jouée par Josiane Balasko.
Un tel film est à revoir pour la performance de Marielle, bien sûr, mais également pour le sujet relatif à l'optimisation et à la fraude fiscale des classes supérieures traité certes sur un mode comique mais qui reste malheureusement d'actualité.

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vraiment débiles les commentaires.on voit que les gens n'ont pas vu le film,qui est d'une ironie qui correspont bien à l'époque,notamment de libération sexuelle ou les femmes tenaient le haut du pavé.c'était après 68,et cela avait commencé avant,début 60.je suis né en 53et j'en sais quelque chose.pour les petits coincés(e),regardez donc ON EST TOUJOURS TROP BON AVEC LES FEMMES,d'après Raymond Queneau( Hé les incultes !vous connaissez ?) Marielle est excellent,et Elisabeth Wiener sublime.ce sont des leçons d'histoire du 20ème siècle.pour les coinçés:apprenez. mes enfants connaissent déjà.

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Grand malaise ressenti au visionnage de cette scène de non consentement plusieurs fois répété. A ceux qui parlent de culs serrés, je répondrai que ce n'est absolument pas une histoire de puritanisme mais une histoire de consentement, consentement absolument partage a 250% par tous.tes. Ce n'est évidemment pas le cas de cette scène. En quoi cette essentialisation de la jeune-femme vierge, pure, innocente face a l'homme qui retrouve toute sa force virile est-elle la marque du talent de Jean-Pierre Marielle ? Je trouve dommage ce choix, déjà vu et revu par ailleurs, par La-bas.
Un mea culpa, erratum, retour sur le choix de cette scène et les commentaires (bienvenus) suscités ?

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Usants les commentaires. Usants.

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êtes- vous sûrs qu' il n' y a pas une autre scène dans ce film , moins méchante pour les filles et ridiculisant moins les hommes, qui aurait pu donner à jp Marielle l' envie de ne pas mourrir ?

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Dans la plus pure tradition stalinienne, je vais commencer par un début d'auto critique.

Marielle me fait souvent rigoler.
Je suis dans la catégorie des "vieux mâles blancs", sensible à la plastique féminine.
La dame du film, dont le corps fait l'objet de l'adoration du couillon à moitié bourré devait avoir l'age de ma maman.
Pour rebondir sur un commentaire lu plus haut, j'ignore si les talons hauts sont une invention de séduction de femmes ou un outil d'asservissement au service de la libido masculine, mais j'y suis sensible aussi.

La décontextualiser un film de 1975, et le registre pantagruélique de Jean Pierre Marielle puis faire un procès en anti féminisme me semble pas servir la juste cause féministe ou la conformation d'un imaginaire libidinal masculin à cet idéal.

Est-ce simplement la film qui est mal choisi pour rendre hommage à l'acteur ?
Ou est ce le registre même de l'acteur qui est l'objet des critiques que l'on peut lire ici ?

Y a t'il des films qui exonèrent Marielle de faire, par son jeu d'acteur, l'apologie d'un modèle de domination masculine et bourgeoise ?
Si J.F. Kahn avait fait son misérable commentaire sur les tripotages ancillaires en 1975 au lieu de de faire à l'occasion de l'affaire DSK, cela aurait il provoqué un tollé ?

N'étant pas un cinéphile averti, fort de cette grille de lecture, je me demande simplement si quelque film populaire des années 1970 peut échapper à ces critiques ?

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Je suis contente de voir aussi ici quelques critiques.
J'ose ajouter un message ici car je n'ai pas lu ce qui me semble le plus criant : C'est la femme de ménage de l'hôtel ! Lui un client !
On est dans un rapport de force évident. Au delà de la lutte des genres, il y a là un rapport de domination évident. Si elle était vraiment partie ''pour aller faire le ménage chez le curé'' comme elle dit, aurait-elle pu perdre son travail car le client serait aller se plaindre au patron ? Si elle avait été la fille du maire aurait-il osé faire la même chose ? C'est une fille de petite vie, on peut la manipuler comme on veut. C'est surtout ça qui est choquant. Quand Dominique Staus-kann a fait exactement la même chose à New-York avec une employée de l'hôtel. Je ne me souviens pas que Là bas si j'y suis ait trouvé ça ''normal''...
Cette jeune fille, il le dit lui même ''tu es comme un enfant'', est fragile et c'est ça qui est frappant et qui me rappelle tant de chose abjectes que des hommes ont pu faire à nous toutes, dans l'impunité la plus totale, sous couvert de l'art, de la poésie, de notre beauté, etc. Et si on se serait défendu, on aurait été rejetée alors mieux valait sourire et se taire...
Je n'ai pas vu le film. J'espère qu'après elle reprend en main les choses (avec un sécateur par exemple - je rigole bien sûr :) ) . Mais, vraiment, j'espère que cette fille sort pas seulement victime de ça parce que c'est trop violent.
Merci et à +
Ingrid

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En lisant tous les commentaires je pense à "Love" de Toni Morisson .

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Et voilà, on se fait traiter de cul serré quand on exige de voir des mecs à poil....mais attention pas que des hommes jeunes, des hommes de tous les gabarits et de tous les âges !

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Une seule réflexion me vient à l'esprit en lisant ces "commentaires " :
– Que recherche certain(es) personnes en s'abonnant à Là-bas si j'y suis ?... Que comprennent-ils (elles) ? Que recherche-t-ils (elles) ? Qu'espèrent-ils (elles) ... La bourgeoisie et les puritains peuvent dormir sur leurs deux oreilles et tout le reste ! Le changement, c'est pas pour demain, ni après-demain ...
Je conseille à ces puritain(es) de lire (ou relire) Alphonse Boudard (au hasard : 'Le café du pauvre' qui vient d'être rééditer à La petite Vermillon ) juste pour les achever ! ...
Et comme dit Belmondo dans le premier film de Godard : "Si vous n'aimez pas ceci ... si vous n'aimez pas cela ... : Allez vous faire foutre !"

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Beaucoup d'anxiété pour moi au visionnage de cette scène, je m'attendais à voir un beau partage mais cela ne va que dans un sens, ça ressemble trop à des situations vécues d'insistance lourde etc. Je n'ai pas vu le film : qu'arrive-t-il à cette pauvre fille ensuite ? Il la viole ou il s'endort comme il l'a promis ?

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arretez arretez !les culs serrés vous ne voyez, ne sentez pas la beauté de cette ode à la splendeur au desir de vivre à la douceur à l épicurisme au sublime...vous vous targuez sans doute de vous battre pour une société humaine plus juste pour le bien etre de tous et vous rejoignez les rangs des censeurs des bienpensants des staliniens des fous de Dieu de tous horizons des esprits étriqués et petit bourgeois politiquement corrects qui nous ont toujours pourri l existence...désolant.!peut etre n aimez vous pas non plus" l origine du monde" de Courbet.on peut etre féministe et aimer déguster les galettes dePont Aven ne vous en déplaise

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@Eisenia. Tout à fait d'accord avec vous.Je trouve qu'il n'y a pas encore assez d'hommes qui se révoltent contre le sexisme,le viol,et toutes les horreurs que les femmes subissent encore trop souvent.Les hommes sexistes,violeurs,violents,en plus de faire mal aux femmes,discréditent,en réaction,l'ensemble des hommes.Et pourtant,ils sont une infime minorité....
Par contre,contrairement à vous,je ne considère pas Là-Bas comme un média sexiste,machiste ou autre.Il a prouvé,plus d'une fois,le contraire.
Et puis,d'autres média aussi complets et indépendants que Là Bas,abordant autant de sujets variés,je n'en vois pas(à part Le Média,mais dans un registre différent)
La couverture du mouvement des Gilets Jaunes(dont je fais partie),par l'équipe de Là Bas,est inégalable !

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Je précise que je suis un homme. Camarades dotés d'un pénis, prenez conscience de vos privilèges. Renoncez-y. C'est braire et être puritain d'être choqué.e par cet extrait (en accès libre en plus, ah la bele pub pour Là bas !) ? En 1975 comme en 2019, quand on vous dit non, c'est non. Et la jeune femme dans l'extrait dit plusieurs fois non. On peut parler de viol pour décrire ce genre de scène : absence de consentement. Comment croyez vous que les curés arrivent à baiser des gosses ? Exactement comme dans cet extrait. Je vous suis depuis ma tendre enfance, mais si Là-bas appelle ça "la vie, en somme", alors ciao. Qui sont les "nouveaux puritains" dont on parle ici ? Nous, féministes ? Youhou on est au 21ème siècle ! Je vais aller voir ailleurs si j'y suis, si le patriarcat n'y est pas. Je ne me désabonne pas tout de suite car, heureusement, les commentaires critiques et lucides que j'ai lu me rassurent sur le public de Là bas. Un méa culpa serait le bienvenu de la part de l'équipe. Encore une publication comme ça et j'irai soutenir un autre media indépendant, mais non machiste. D'autant qu'on peut trouver vos invité-es ailleurs. Allez ciao.
Anticapitaliste, antifasciste, antiraciste, donc antisexiste !

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Tout à fait Angèle !
Le corps des femmes occidentale peut être dénudé et dénudable à l'envi sans que la majorité proteste.
Elles-mêmes doivent être jeunes et sexy, porter des talons impossibles pour mieux cambrer la taille, s'allonger les cils, s'étirer les yeux, s'épiler, mettre en valeur leurs "appats" etc... Chez les chinois, c'était autre chose, pieds mutilés pour donner aux femmes cette démarche hésitante, à pas menus, qui, pour les mâles de ce pays, est la quintessence de la féminité et permet de les garder dans la dépendance. En Afrique, étirer le cou des femmes girafes avec un empilement de colliers, dépendance idem etc... En Inde, les veuves peuvent être (et sont souvent) jetées à la rue par leur belle-famille... elles ne rapportent plus rien.

La liste est longue de l'oppression de par le monde, oppression continuée par les femmes elles-mêmes. La femme n'a longtemps eu, comme monnaie d'échange pour (sur)vivre, que son corps et le prix attaché à sa virginité, si bien qu'elle a dû développer à l'égard de ses soeurs des stratégies du type de celles si souvent dénoncées : mise aux enchères d'une virginité, infigulation, excision.
Autrement elle avait droit... à quoi ? Ben à RIEN.
Que dire ensuite quand la tyrannie va jusqu'à obliger la femme à se déshabiller sur les plages, au soi disant nom de sa liberté.
Nous ne sommes pour beaucoup encore que des objets de convoitise ou de rebut quand on vieillit.

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Je précise que je suis un homme. Camarades dotés d'un pénis, prenez conscience de vos privilèges. Renoncez-y. C'est braire et être puritain d'être choqué.e par cet extrait (en accès libre en plus) ? En 1975 c'était déjà le cas, mais en 2019 plus que jamais, quand on vous dit non, c'est NON. Et la jeune femme dans l'extrait dit plusieurs fois non, non, non. De nombreuses et nombreux féministes parlent de viol pour décrire ce genre de scène. Comment croyez vous que les curés arrivent à baiser des gosses ? Exactement comme dans cet extrait. Si Là-bas appelle ça "la vie, en somme", alors ciao. Qui sont les "nouveaux puritains" dont on parle ici ? Nous ? Féministes, l'anti-patriarcat, l'anticapitalisme peut être ? J'arrête là, car je suis en colère. Je vais aller voir ailleurs si j'y suis, si le patriarcat n'y est pas. C'était bien Là bas, mais là, ce n'est plus possible.

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@angèle : entendons nous bien ! Je trouverais normal,légitime,naturel,que des femmes réalisatrices montrent des culs et sexes d'hommes ! Il n'y a rien de choquant à ça. Pas plus qu'à montrer des culs et sexes de femmes.

Je parlais sur un plan personnel,en disant que ça me laisse(rait) de marbre....

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Ben voilà, Eisenia, vous avez raison, c'est patriarcal. Le reste (le jeu d'acteur, l'amour à la française etc...) sert de cache-sexe.

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Merci, pour une fois que ce n'est pas moi qui remue le couteau dans la plaie. Tout à fait d'accord avec vous à 150%.
C'est pour cela que cette société de mâles ne veut pas inverser la situation : à quand une femme déflorant un puceau ? Toutes les kékettes du monde sont bien planquées, mises à l'abri du voyeurisme tandis que nos corps de femmes sont balancés en pâture, mais attention que des corps de gamines ! surtout pas de femmes vieillissantes !

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Revenons sur cette scène, devant laquelle tant s'extasient...
Moi elle me laisse un sentiment de malaise profond. La jeune fille, petit à petit, se voit imposer cet extasiement (ça se dit ?) mâle. Présenté comme chaste, il vire au harcèlement, y a pas d'autre mot. Je ne me rappelle plus la suite, et je me passerai de la revoir.
Cette jeune fille se fait manipuler ! Trop de femmes se font harceler impunément car elles ne savent pas comment combattre le caractère insidieux de la chose. Elle avait dit non, ça aurait dû suffire. Que cette scène soit pour certains un moment d'anthologie n'enlève rien à ce qu'elle dit de la domination patriarcale, de son fonctionnement.
Vous dites "De quoi soulever le couvercle du cercueil et faire braire les nouveaux puritains. La vie, en somme." Sexe = vie, on est bien d'accord, mais la célébration d'un minou vierge, quel sens ça a ? Le mâle qui bande devant la beauté de la virginité, quel sujet ! Pouvoir déflorer une jeune fille, ça a toujours été d'un grand prix dans cette société de mâles dominants. L'accès au corps des femmes, tarifé, ou encore contractualisé par le mariage, la société prend soin de le garantir aux hommes, de tous temps (le cadenasser c'est pareil), à part chez quelques petits peuples comme les Moso, en Chine.
Les leçons à tirer de cette scène et de son encensement sont multiples...
Le respect de toutes les femmes, de tous les "minous", c'est pas encore pour demain dans notre société.

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Nous aimerions savoir si vraiment toute l'équipe à validé ça. Nous ne comprenons pas pourquoi avec tous les reportages de qualité sur votre site, qu'on puisse trouver une telle merde patriarcale.

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pour moi c'est avec SERRAULT dans "Bouvard et Pécuchet " qu'il m'a fait rire
deux messieurs qui jouent aux scientifiques et chaque mois se lancent dans des expériences du jardinage à la chimie calamiteuses
il rejoint ces copains Rochefort , Carmet, et cie: : "il était temps "

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Séquence sujette à dissertation,
Mais les filles ont raison,
Les hommes pourraient être surpris que l'érotisme appartienne aussi aux femmes...

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C'est le grand problème des femmes : nous sommes contraintes de voir les culs et minous de belles nanas sans broncher et quand on réclame du cul et sexe d'hommes, les hommes ne sont pas intéressés ! Elles ne sont pas légions les femmes réalisatrices qui montrent du mecs à poil , quelle tristesse...

Jean-Pierre Marielle a crevé l'écran

J'avoue que ça me donne envie de voir *le film complet* « Les Galettes de Pont-Aven », 1975 avant tout.
La seule chose qui nous donne envie de ne pas mourir ? la mort.
La seule chose qui ne donne pas envie de vivre ? la vie.
Je fais le tour de la question ?
Macron sur une TV que je n'ai pas ? la rigolade.
et si je dis que l'admin devrait implémenter le Markdown dans les commentaires j'emmerde Là-Bas si j'y suis.
La vie en somme. De quoi soulever le couvercle du cercueil.

Jean-Pierre Marielle a crevé l'écran

(2 ème essai)
Merci à lui pour tous les fous rire provoqués, qu'il repose en paix.
D'autres extraits en faisant des copier/coller sur chaque phrases en dessous, puis sur youtube.(grenouille de bénitier et pisse froid, s'abstenir)
– Comme la Lune | Jean-Pierre Marielle & Sophie Daumier - Régalade (1977)
– L'Hédonisme vulgaire par Jean-Pierre Marielle

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@ angèle (sans majuscule ?):autant je ne partage pas votre point de vue,à propos du "minou de Marie", autant je pense que vous avez raison de réclamer le droit de voir le "bâton de jade de Jean"(-Pierre ?)
Mais là,c'est moi qui ne suis pas intéressé....

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... reste a proposer la séquence aux meilleurs scénaristes !

Jean-Pierre Marielle a crevé l'écran

Suis-je une nouvelle puritaine si je dis que le Minou de Marie ne m'intéresse pas ? Que je préférerai le bâton de jade de Jean ????