Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán [INTÉGRALE] - commentaires

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán [INTÉGRALE]

Merci pour cette belle série
Si possible ? un peu de pub aussi pour Mathieu Colloghan (trop modeste et discret pour en faire la promotion lui-même) car après les dents il est possible de se faire du bien aux méninges en lisant les nombreuses BD qu'il crée pour le journal la décroissance
http://www.ladecroissance.net/
notamment le dernier bouquin Vive les décroissants puis tous les autres plus anciens avec son compère et rédac'chef Vincent Cheynet aux textes. A défaut, pour moins cher chaque mois dans le journal on le retrouve toujours avec plaisir ...

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán [INTÉGRALE]

Super bd, on souffre avec vous. j'avais envie de me faire refaire les dents, à l'étranger bien sur car en france, il me faudrait t tout l'héritage de ma pauvre mère, mais bon la , je crois que je vais garder mon ruisseau du bonheur.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Une fois de plus, c'est le blues du dentiste qui commente pour moi :
" Hoooooooo Mamaaaaaan ! J'ai les guiboles en fromage blaaaaanc ! "
Hongrois tout savoir et en fait non. La suite, la suite !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Et niveau peintures et peintres de qualité...la Hongrie. ?
En vrai c'est pas si cher un Smilevitch, le problème c'est les charges...
Ok je sors

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Excellent. A quand le prochain épisode ?

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Comme Margot en province Centre mais en bien moins cher ! et une mutuelle qui a pris une partie en charge, j'ai oublié le tarif, mais, locataire HLM et retraitée j'avais peu de moyens.
Un truc quand même qui me pose question depuis toujours concernant un appareil ailleurs qu'en France : le suivi ? car il faut y retourner au moins tous les six mois au début pour des retouches éventuelles en tout cas pour une révision générale pour s'assurer que tout va bien,
et après au moins 1 fois par an,
ce qui n'empêche que des fois des trucs ne vont plus : ben vi la bouche c'est vivant et donc ça évolue ! ou des supports vrillent (enfin je connais pas les termes techniques)
… et donc faut y retourner : les aller-retour avec RDV aléatoire + train ou avion + hôtel c'est bonbon, je doute qu'un dentiste de chez nous vous accueille avec le sourire et la disponibilité nécessaire.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Parce que leur logique c'est : plus on fabriquera de pauvres, plus on sera riches ("il faut prendre l'argent là où il se trouve, chez les pauvres, ils n'en ont pas beaucoup, mais ils sont si nombreux"), c'est aussi le principe des vases communicants, ou encore, expliqué à la façon "emberlificoteuse" LREM : "plus t'as de gruyère plus t'as de fromage, plus t'as de fromage plus t'as de troues, plus t'as de troues, moins t'as de gruyère. donc, plus t'as de gruyère moins t'as de gruyère", ou, "les premiers de cordée..." ...
et là, si tu n'as pas mordu à l'hameçon, ils t'expliquerons que c'est parce que tu n'as pas compris, sans doute parce que tu n'est "pas assez intelligents".
Car c'est "La Doctrine" sans alternative, (☺)de tous ceux (et celles, oui oui, il y en a) qui s'adonnent à cette pratique dont vous parlez, et comme vous l'aurez constaté, ils sont de + en + nombreux, alors il va falloir se les "serrer" bien fort ou, marcher en "boitant" après avoir accepté son "destin" sa "caste"...(☺)
Et ce n'est pas les manifs devenues désormais désuètes, pathétiques et d'une autre époque..., bien encadrées, organisées de façon tragi-comique par les syndicats, avec leurs casquettes et ballons assorties, banderoles, porte voie, sifflets, galettes saucisses.......en passant par le point comptage "de moutons" qui n'y changerons quoi que ce soit......en prenant de l'âge, je suis de moins en moins utopiste et de + en + réaliste.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Je reprends une phrase de M.Colloghan :" la normalisation européenne se traduit par une paupérisation radicale", en effet l'Europe heureuse et en paix que les "cultivés diplômés" nous vendent à longueur d'année n'est qu'une machine à fabriquer des pauvres. Sans dents. Sodomisés (pour ceux qui aiment cette pratique, c'est le bonheur mais pour les autres...)

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

le rapport entre les dents et la sodomie m'a surpris, puis je me suis souvenue de la bohue "la dent qui pousse au cul".
Attention ça peut déchirer les draps !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Phil,
quand on est pauvre avec de sérieux soucis de chicots, j'ai bien peur qu'on n'en soit pas à chercher à maximiser ses profits, mais plutôt à chercher une solution dans l'ordre des possibles. Par contre, la sodomie ne connait pas les frontières. C'est déjà ça.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

S'il faut parcourir des centaines de km pour se faire arracher les dents ou se faire sodomiser.... (leçon 3)
Certes, la concurrence libre est TOTALement faussée. Mais cela reste bien dans une logique de maximisation du profit de chaque "acteur".

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Excellent ! j'ai pleuré de rire en lisant cette BD ! et en même temps je me sentais mal pour ce pauvre Mathieu ! je rêve d'une prise en charge à 100% des soins dentaires dans notre pays si développé mais j'ai bien peur que cela n'arrive que lorsque les poules auront des dents...

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Bonjour,

3 mois ce n'est finalement pas si long que ça, je n'arrive pas à avoir de RDV (juste pour un état des lieu) avant 2 mois dans un rayon de 30 km (je suis à la campagne dans le sud)
Du coup je commence a trouver des solutions pour manger, faut être équipé, mixeur, broyeur, hacheur, malaxeur, Je vais bientôt tester la machine à pain parce qu'impossible de trouver du pain de mie sans sucre.
D'ailleurs la prochaine BD pourrait porter sur des recettes spéciale sans-dents !
:-DDD

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Magnifique cette BD ! Et je ris seule devant l'écran ce qui arrive rarement surtout en ce moment ! Et Budapest, j'y étais allée il y a plusieurs années , du temps où Sarko était au pouvoir chez nous, j'avais demandé à une chapelière si elle ne voulait pas le récupérer ? Impossible ! Bon ils n'ont pas mieux, et je resterai sur l'image de Budapest vue avant les travaux de Orban !!!

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Pour ce qui est des Hongrois...
Il y a les miraculés de" l'européanisation hongroise" (je veux dire de l'intégration dans le modèle libéral de l'Union Européenne). C'est une minorité . Elle ressemble comme deux gouttes d'eau aux dindes graciées de thank's giving d'Arundaty Roy (pour Roy, tout comme il y a deux dindes graciées par le président des USA alors que des millions passent au four le jour de Thanks giving, il y a des gagnants de la mondialisation dans les pays qui se prennent la globalisation de face. Pour eux, pas de soucis. Pour la majorité de la population, la normalisation européenne se traduit par une paupérisation radicale. Et les soins dentaires, qui faisaient partie de l'ordinaire, sont devenus hors de prix. Par contre, ce n'est pas directement lié au marché du tourisme dentaire : la majorité des cliniques qui se sont ouvertes sur ce marché n'existaient pas avant ce business international.
Et sinon, Michel, pour le reste de ton message, je l'imprime de suite et le glisse sur le bureau du trésorier (mais va falloir penser à se réabonner pour pérenniser mon futur train de vie !)

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Comme Mathieu et Régis, j'ai le coeur qui palpite, j'attends avec impatience la suite et, j'espère, la bonne fin !
Super, merci

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

J'ai pleuré de rire... je suis en train de sortir de deux ans de traitement pour la même chose, mais en France. Petite ville de province, super dentiste, mais piqure là et là et là et là, marteau, burin, perceuse, ciment, cheville, pas-de-vis, sang partout, tout le tintouin idem. Mais dans une belle salle d'op ultra moderne, trois assistantes autour de moi, et beaucoup de temps entre chaque intervention. Tarif, 30 pour cent de moins qu'à Paname, à 6oo bornes d'ici, mais je vis sur place, je paie pas l'hôtel. Encore trois rdv et c'est fini. Je me sens plus léger avec 35000 euros en moins. J'attends la suite, ma suite. Artistiquement, cette BD est magnifique. Le dessin, les couleurs, le découpage, les textes, du grand art. Bravo !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 3)

Je ne savais pas que les reporters de "Là-bas" étaient si mal payés qu'ils devaient se faire arracher toutes leurs dents , même saines, en Hongrie pour payer moins cher leurs prothèses...Allons Daniel, un petit effort, tous le même salaire à "Là-bas", sinon on va s'abonner au Figaro, plus proche des notables que des dents jetables...Une petite question subsidiaire : que deviennent les "sans-dents" hongrois dans cette industrie pour sous-classe moyenne de l'Ouest ?

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Merci Angèle de votre conseille "Île" de A.Huxley, c'est noté.
J'avais rajouté un commentaire de + sous mon texte, mais j'ai apparemment fait une fausse manip, et elle se retrouve toute seule plus haut sur cette page (à 18h57)

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

2 ème tentative, merci "la bas" de replacer cette phrase ici afin qu'elle prenne tout son sens à la suite de mon texte ( qlqs fois certain refus m'échappent) :
Il fallait libérer le lit, vous aviez sans doute compris.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

BD qui me plait beaucoup ; ça m'intéresse (même si je n'ai pas de problèmes de dents) ; particulièrement les états d'âme et les mises en garde . J'ai hâte de lire la suite. J'espère que tout se passera bien et que la qualité des implants sera bonne.

Si la valeur d'un chirurgien résulte du nombre d'interventions pratiquées, alors les dentistes hongrois doivent être excellents. N'y a t il pas dans les craintes, une part de conditionnement par l'arrogance culturelle ? on nous assène bien que la France est le pays des Droits de l'homme et nous ressentons ce qu'il en est en réalité ; c'est peut être la même chose pour les soins dentaires.

Pour accroitre leur domination , les dominants nous laissent sans dents. Comme ça , ils voient mieux les "classes dangereuses". Et sans dents, il devient difficile de mordre.

Si je suis cynique, c'est en outre tout bénéf pour l'oligarchie : il y a un lien démontré statistiquement entre les dents non soignées et certaines pathologies des valves cardiaques : après le temps des caries, survient la dépendance à vie aux pilules pour le coeur nécessaires pour pallier aux valves défaillantes et les rentes pour l'industrie pharma.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Je peux vous conseiller de lire "Île" de A.Huxley....

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Il fallait libérer le lit, vous aviez sans doute compris.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Je me souviens de cette émission sur les babayagas, c'est sans doute elles qui ont raison, plutôt que de finir ses jours dans des ehpads privatisés (en sous effectif) et sur le dos desquelles vivent les fonds de pensions états uniens.
Finalement, tous ces ultra riches le sont dans le porte-monnaie mais si pauvre dans leur coeur.
Et lorsqu'il y en a un, comme Carlos Ghosn actuellement, qui tombe... (d'ailleurs Bruno Lemaire lui, n'avait rien vu d'anormal...), au fond de moi, je "jubile" presque, on n'est pas près de voir ça en France, (☺) parce que vous comprenez : "on a besoin des riches" "grâce à eux l'argent ruissel" " ils créent des emplois"...., il va peut être falloir un de ces 4 commencer à dresser les potences pour tous ces premiers de cordée.
Je vais vous dire une chose que je ne pourrais jamais oublier et pour cause, mon père est mort il y a 5 ans, dans un service de soins palliatifs, sachant que l'on nous avait annoncé que c'était sans doute sa dernière nuit, j'ai décidé de passer le voir une dernière fois, et ce bien après l'heure des visites, c'était en février, dans la chambre, il faisait un froid de "canard", qlqu'un avait coupé le chauffage de sa chambre après l'heure des visites, pour qu'il "parte" plus vite (mon père tremblait) j'ai rouvert le radiateur, puis ai tenu sa main glacée qui s'est refermée sur la mienne, un moment, en me posant un tas de questions sur la fin de vie...
ps : il y avait une croix au dessus de son lit.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Merci pour votre témoignage. Vous confirmez ce que je savais : un milieu crade qui schlingue. A éviter et à fuir en courant sans se retourner pour garder propre sa dignité malgré des taches sur les vêtements, des dents en moins, des cheveux qui tombent, la graisse qui s'accumule...
Je vis donc je vieillis. (Vive Thérèse Clerc et les babayagas)
Je dis souvent que la pauvreté n'est dérangeante que dans le regard du riche.
C'est pareil pour la vieillesse et ses stigmates.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

On peut être anti européen mais tout de même constater qu il y a des truc positif c est là concurrence européenne elle s applique aussi au notable j attend l épisode où il va aller en Turquie pour les implants capillaires

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Alors si tous les français vont se faire soigner à l'est, les gens de l'est ils se font soigner où ??

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Ne faut-il pas un h à thermes ?

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Ayant longtemps été régisseur dans le spectacle >20 ans<, je connais assez bien comment fonctionne ce milieu, tous les trucs et les combines pour attirer les "lucioles" et leur porte-monnaie, et je peux vous dire que des aberrations, j'en ai vu un paquet, des tromperies sur la "marchandise", des playbacks sur scène devant publique, alors que c'est une personne qui chante ou qui joue réellement en coulisse, loin des projecteurs....,il se passe des choses inimaginables en backstage (derrière le rideau), du gaspillage de toujours plus de subventions, avec dealer sur facture et dans bien des choses que je ne peux raconter ici, je peux vous confirmer que dans ce milieu aussi (musique,cinéma), il y a des gens qui ont une imagination "diabolique" pour contourner les règles afin d'engloutir un max de pognon de dingue, tout comme en politique.
Tout ça pour dire qu'il y a belle lurette que je ne suis plus "séduit" (n'ayant jamais été idolâtre) par ce milieu comprenant beaucoup de déglingués superficiels, cyclothymiques, schizophrènes avec paillettes et poudre sur et dans le nez, que je sais assez facilement contourner les "pièges" et les vois venir d'assez loin, je pratique beaucoup la zappette et préfère de loin les petits plaisirs de la vie "réelle".
Sinon,pour en revenir au sujet de cette page, subissant des soins dentaires depuis qlq temps, ça me pourrit bien la vie, et suis à 2 doigts de la "banqueroute".

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Cependant cher Phile, nous sommes responsables de cet état puisque nous validons tous ces monstres d'égo en étant spectateur de leurs frasques.
La télé, le ciné même la radio , peut être même le théâtre sont des instruments pour dominer une catégorie de gens, les rendre spectateurs donc passifs. Il y a une époque où tous ces médiums servaient une cause émancipatrice mais ce n'est plus, en majorité, le cas.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Tout à fait d'accord. On s'y croit, on a peur Et on rit. Merci de produire ce type de reportage. Merci pour la qualité. Hâte de lire la suite.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Ce que vous écrivez me rappelle Arielle Dombasle, que j'avais entendu déclarer dans un talk show radiophonique, qu'elle prenait entre 3 et 4 bains par jour (oui, par jour), cela m'avait déclenché une colère intérieur en pensant que moi, je faisais attention à ne pas gaspiller, et j'ai fini par me poser la question : ne nous demanderait-on pas de ne pas gaspiller, afin que tous ces petits bourgeois puissent continuer de jouirent de tous les péchés capitaux à volonté ?

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

A quand la suite ! Super bande dessinée 👍

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán (chapitre 2)

Une chouette BD.
Et ouais, nous sommes de simples mortels et à terme périssables : dents, cheveux qui tombent, chair qui s'affaisse. Ne serait ce pas les stigmates de la vieillesse ?
Cacher cette vieillesse que l'on ne veut pas voir, encore à cause de toutes ces stars qui se la pètent !
( leur frais de dentition, chirurgie esthétique étant à la charge du public puisque c'est lui qui les enrichit.) Décidément y'a pas de justice.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

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Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

Belle BD !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

j'ai une rage de dents en ce moment, dire si je suis sensible

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

Si il est vrai que Bucarest accueille de nombreux patients transfrontaliers, Budapest reste la destination la plus demandée pour se faire soigner les dents. Nous avons constaté un nombre de plus en plus important de patients qui souhaite franchir le pas pour économiser au moins 60% sur leurs soins dentaires. Il faut cependant rester vigilant avec certaines cliniques proposant des tarifs trop bas sur les prothèses. Comme partout, tous les laboratoires ne se valent pas. cependant et pour finir, le niveau d'équipement, les méthodes d'enseignement des praticiens, et l'énorme expérience de ces derniers placent la Hongrie loin devant la France dans le domaine de l'art de la dentisterie.
Dentaire Futé

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

La vie c'est comme une dent
D'abord on y a pas pensé
On s'est contenté de mâcher
Et puis ça se gâte soudain
Ça vous fait mal et on y tient
Et on la soigne et les soucis
Et pour qu'on soit vraiment guéri
Il faut vous l'arracher la vie.
Boris Vian.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

Salut à tous
affronté à ce problème de longue date j'ai tenté l'aventure sur les conseils d'un poto en Roumanie.
C'était en 2006. J'ai eu droit à un appareil amovible pour le haut et 5 implants pour le bas et le tout m'avait couté 2500 € au lieu des 35000 demandé par un charlatan des beaux quartiers parisien.
L'appareil du haut a tenu 8 piges et il a fallu que j'y retourne recemment .
Après une greffe osseuse 6 implants et soulagé de 7500 € je mange de tout et j'ai un sourire de STAR.
Bucarest est devenu la mecque de la ratiche mais attention les prix se sont envolés heureusement que je connais bien le Professeur de la faculté qui m'a arrangé le coup !
comme c'est devenu un gros business en Roumanie si on compte les frais de sejour on arrive maintenant quasiment au prix que l'on peut trouver dans certains cabinets dits "Low Cost Startupisés" en France mais faites gaffe la dedans on trouve un bon nombre d'incapable qui ne cherchent qu'à vous faire les fouilles en vous faisant payer d'avance.
Bon courage mes amis sans dents.

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

vivement la suite,
parce que je me prépare à partir je ne mange plus que du haché depuis 2 semaines....

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

C'est vrai, Franck ! Et en plus, dans l'imaginaire collectif, les dents, c'est l'évaluation de l'état général (l'esclave à qui on regarde les dents. Pas d'bonnes dents, à la poubelle ! ). Et si en plus tu es jeune, et en plus une femme ...

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

J'ai le blues du dentiste comme Henri ;) La suite ! La suite !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

Tellement vrai !!!
De la part d'un dentiste (heureusement !) en retraite ! Con que je ne sois plus en activité, je te les aurais soigné gratos, tes chicots, Mathieu !

Le jour où je suis allé me faire arracher les dents chez Viktor Orbán

Excellent. J'attends la suite avec impatience.

Les dents ça fait mal au moins cinq fois :
- Ca fait mal et même très très très mal, au point qu'on commence à avoir mal d'avoir peur d'avoir mal, jusqu'à préférer mourir plutôt que d'avoir à subir cette douleur.
– Ca coute cher, et même très très cher.
– C'est la honte sociale. Vous noterez la représentation des méchants au cinéma, du despérados à la méchante sorcière. D'où le regard et la suspicion des autres à votre égard.
– Ya toujours un abruti pour dire : "Mais pourquoi tu vas pas chez le dentiste".
– Et c'est pourquoi vous avez l'air idiot avec vos sourires contrits et vos rires étouffés par votre main qui veut cacher cette honte soutenable.