DE DÉFAITE EN DÉFAITE JUSQU'À LA VICTOIRE FINALE - commentaires

DE DÉFAITE EN DÉFAITE JUSQU'À LA VICTOIRE FINALE

Bonjour Daniel, et tous les AMG,

Dis, je ne sais pas si tu auras l'occasion de rendre hommage à Günter Grass, comme tu le mentionnes au début de cette émission je crois... Voilà un petit lien d'une vidéo youtube pas beaucoup regardée, un peu longue, mais qui pourrait plaire aux AMG !
Günter Grass et Pierre Bourdieu en 1999

Bourdieu - Entretien avec Günter Grass (1999)
par Thibaut Izard

Sacré Günter, et son éloge de l'humour, ça m'a fait penser à ton ironie dont je ne me lasse pas :)

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Pourquoi vous aligner sur une pratique anglo-américaine : "partie 1ère" au lieu de "1ère partie" et la suite ?

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Compañero Eduardo Galeano, presente !
http://blogs.mediapart.fr/blog/raymond-macherel/140415/companero-eduardo-galeano-presente

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Didier, c'est pas Jean-pierre Manach, c'est Jean-marc Manach

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Bravo pour ce bel hommage rendu à ces deux hommes exceptionnels François Maspero et Eduardo Galieno.
C'est exactement ce qu'il nous fallait pour nous redonner le moral après la manifestation contre la loi Macron en partie ignorée par les médias.
Eduardo Galieno nous rappelle que seul compte le temps présent et que même si l'intellect et la raison sans le coeur peuvent engendrer des monstres, un monde différent nous attend.

Sinon est ce que quelqu'un peut me dire pourquoi un certain Guillaume de Rouville, fondateur du site l'Idiot du village a qualifié le Monde Diplomatique comme faisant désormais partie des nouveaux chiens de garde et de journal pour bourgeois contestataires.
Dans cet article il remet en question l'indépendance du journal et des journalistes suite à sa vision des attentats du 11 septembre 2001. Sur son site il dénonce l'atlantisme et l'impérialisme américain.
Qui est vraiment Guillaume de Rouville ?
Voici le lien de cet article :
http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-invites/le-monde-diplomatique-en-depot-de-bilan/

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Enfant, la lecture c'était mon beefsteak. Sitôt le paquet défait je l'entrouvrais pour le respirer. Le livre c'était le cadeau-roi, le roi qui me libérait du quotidien morose, qui m'apprenait l'altruisme, la liberté, démasquait l'injustice avec des vrais mots. Cadeau rare d'une mère aimante, cultivée, mais modeste.
Longue vie aux libraires indépendants au métier de plus en plus difficile, qui prennent le temps de nous écouter,et de nous renseigner, aux bons écrivains qui nourrissent nos âmes d'enfants en les éduquant. Merci à Messieurs MASPERO et GALEANO.
Quelle valeur ont aujourd'hui les mots ? En politique surtout, ils sont galvaudés, usurpés, dévitalisés, deviennent trahisons et calomnies. Si les mots pouvaient se révolter, ils seraient inaudibles dans ce domaine, en grève de la faim, de notre faim de savoir, Nous serions alors conviés à les trouver là où ils nous libèrent de notre paresse. A nous de savoir décrypter le mensonge par de meilleures lectures, car si les politiciens ont le droit de dire, adultes, nous avons celui de les démasquer.
Les Grecs ont compris, qui ne confondent plus la droite et la gauche, le libéralisme et la liberté, la dignité et la liberté. Notre gouvernement, à l'instar de la troïka, s'il était de gauche. serait à ses côtés. Mais il nous prépare un joli cocktail de mesures qui seront expliquées avec leurs mots, des mots-masques.
Merci à Daniel, à toute l'équipe et les invités.

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Résistons pour que nos librairies continuent à vivre . Quelle joie de leur demander de nous aider à trouver à livre que nous venons d'entendre parler , à leur commander un autre, à chercher un auteur, choisir des bandes dessinées, avoir un coup de cœur ; ( bine qu'avec modération, un petit plaisir une fois par trimestre ou alors ,hélas, les emprunter en bibliothèque. Ils proposent aussi les "liseuses" mais je ne le ferai jamais, je préfère tenir le livre en main pour pouvoir le feuilleter, boire les mots, rêver, vivre., pendre son temps. Il y a une chose qu'AMAZONE ne peut pas, y'a une chose qu'Amazone ne PEUT PAS, il ne pourra jamais nous faire partager le goût de lire, le livre n'est pas un objet de consommation comme un autre et les auteurs et éditeurs doivent vivre..