Le dopage dans le cyclisme (1) - commentaires

Le dopage dans le cyclisme (1)

15hoo ou presque j'écoute la bas .... et vous laurence bloch

Le dopage dans le cyclisme (1)

Suite de cette longue longue histoire... "Landis : Lance Armstrong et moi-même avons reçu des transfusions sanguines" (Le Monde 21/5)

En passant aux aveux, mercredi 19 mai, Floyd Landis, le vainqueur déchu du Tour de France 2006, égratigne un peu plus la légende Armstrong. Le coureur américain, qui affirme avoir consigné toutes ses années de dopage dans un journal, accuse le septuple vainqueur du Tour de France et son mentor, le Belge Johan Bruyneel, de l'avoir initié aux hormones de croissances, érythropoïétine (EPO) et autres transfusions sanguines (...)"

Chaque année, c'est pareil juste avant c'est le cirque mais c'est pour mieux faire semblant d'y croire pendant...

Le dopage dans le cyclisme (1)

Effectivement, à écouter (il y a aussi une deuxième partie le jour suivant).
Il est important d'informer les jeunes sur le tort que le dopage cause au sport ainsi qu'aux individus concernés... ce sont les profs d'éducation physique qui devraient apprécier ce reportage !

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A capitaine Kirk

EPO certes , mais n'est-on pas passé à un stade supérieur avec Armstrong ? Le stade de la manipulation génétique ? La question se pose lorsque l'on regarde le changement morphologique du multiple vainqueur du tour , avant et après cancer .
Il va de soi par ailleurs que l'on souhaite à Fignon de gagner le combat qu'il entame à présent .

PS : Il serait intéressant que des journalistes enquêtent auprès d ' un coureur comme Moncoutier ( équipe cofidis ), qui ne casse pas la baraque si on le compare aux grands vainqueurs du tour , mais qui s'en sort très honorablement au niveau palmarès des victoires d'étapes . Ces employeurs , l'année dernière , critiquaient le coureur car d'après eux " celui-ci n'en faisait pas assez sur le vélo " ( qu'entendaient-ils par là ? ) . Il vient de s'imposer à nouveau dans le dauphiné et remporter une étape de montagne .Je pense qu'un homme comme Moncoutier , qui a oublié d'être con , pourrait apporter beaucoup à ceux qui se disent soucieux de nettoyer le sport cycliste .

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Journal de bord du capitaine, date stellaire 9529.7, le vaisseau poursuit son odyssée dans les archives de l'émission "La bas si j'y suis". Ce message pour recommander l'écoute de ce reportage datant de 2004 sur le dopage dans le cyclisme et le sport en général. Très instructif. La vitrine du sport de haut niveau, et l'arrière boutique. Les médecins en particulier apprécieront le témoignage d'un ancien soigneur repenti (qui passe maintenant pour un traitre dans la communauté du cyclisme). A écouter au moment où va démarrer dans un peu moins de 3 semaines une nouvelle édition du tour de France et au moment où, dans un livre autobiographique intitulé "Nous étions jeunes et insouciants" à paraître mardi, le coureur Laurent Fignon admet avoir pris des amphétamines et de la cortisone durant sa carrière. Il estime que le dopage a changé de dimension dans les années 90 avec l'arrivée de l'EPO. "Indurain gagne son premier Tour (en 1991). Est-ce qu'il était à l'EPO ? Je suppose. Bugno aussi, Chiappucci aussi. Mais c'était des exceptions, 15 ou 20 coureurs. Je pense que ça c'est généralisé en 1993. A cette époque, on m'en a proposé, j'ai dit non", explique Fignon dans cette interview. "Mais on est dans le système. Et si tu ne suis pas le système comme Delion ou Bassons, tu es viré du système. Comme Glassman (NDLR : affaire VA - OM en 1993) a été viré du foot. Je n'ai pas honte de ce que j'ai fait (...). Le dopage ce n'était pas la même mentalité. Même si petit ou gros, cortisone ou EPO, le dopage sert à tricher.". Agé de 48 ans, Fignon, qui a entamé une chimiothérapie, estime que son cancer décelé il y a deux mois n'est pas lié au dopage. Source : ASSOCIATED PRESS 14/6, http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5hoWqJBy_z-nyhohBTB6OA419Og0w