Madame la MEDEF : une histoire de famille - commentaires

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Très intéressant ce reportage sur les méthodes du privé dont le clan Parisot mais malheureusement il n'y a pas que le privé qui use de ce harcèlement psychologique.
L'Etat a employé les mêmes méthodes lorsqu'il y a plus de 20 ans les usines d'armement (Cartoucheries)ont commencé à être fermées (délocalisation) !
Sur les chaînes de montage, surveillance non stop de petits chefs : plus de pose casse-croûte, minutage de la pause pipi et angoisse au ventre tous les matins, pleurs et dépression...
Preuve encore une fois que cet Etat n'est pas là pour ceux qui lui permettent d'exister mais contre eux !!!!!

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Bon Laurence a quand même raison sur un point :
C'est bien Obélix qui est tombé dans la potion.

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Merci d'informer sur les antécédents, le pédigrée de cette personne.

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Et si on arrêtait tout... et on réfléchissait ?
(G)REVE GENERAL(E) !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Pourquoi n'y a-t-il que vous D.M qui fassiez savoir la mentalité et les pratiques de la famille Parisot ?
Que font les autres médias ?
Vont-ils à la soupe ?
Votre émission était riche en enseignements. Bravo, continuez et surtout COURAGE

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Merci une fois de plus pour vos émissions.
En ce qui concerne l'interdiction faite aux ouvriers d'échanger des paroles, je voudrais signaler le livre de Josiane Boutet (Sociolinguiste à l'U de Paris IV Sorbonne et Paris VII + Directrice de la revue "Langage et Société") : « La vie verbale au travail - Des manufactures aux centres d'appel » (Ed. Octares).
Quand le syndicaliste a dit qu'on l'accusait de ne pas savoir lire, je me suis dit une fois de plus que c'est bien cela qui dérange ce "beau monde", le fait que non seulement les employés/ouvriers pensent et agissent, mais aussi qu'ils savent lire et écrire... D'où les atteintes au système éducatif...
Mais je n'apprends rien à personne ! On ne peut s'empêcher de penser aux mouvements ouvriers en Europe, quand nos ancêtres réclamaient tous ces droits... Et c'est bien de s'en souvenir, et de raconter notre Histoire tout en montrant qu'on connaît aussi celle des autres - les "Grands" !!! - et qu'on sait de plus en plus faire la part des choses.
Bonne continuation !

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J'ai regardé la photo de Laurence sur votre page et je me suis dit : on a le même age et franchement, en comparaison, je préfère vivre comme je vis. La pauvre fille !

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Demain, à la manif, je vous invite à venir admirer mes fesses : il y aura le nom de cette grande dame écrit dessus.

Madame la MEDEF : une histoire de famille

[Décharné, de haillons vêtu
Fou de fièvre, au coin d'une impasse,
Jean Misère s'est abattu
Douleur, dit-il, n'es-tu pas lasse ?]
Refrain :
Ah mais ! Ah mais !
Ça ne finira donc jamais ?
Ah mais ! Ah mais !
Ça ne finira donc jamais ?
Pas un astre et pas un ami !
La place est déserte et perdue.
S'il faisait sec, j'aurais dormi,
Il pleut de la neige fondue.
au Refrain
Est-ce la fin, mon vieux pavé ?
Tu vois : ni gîte, ni pitance.
Ah, la poche au fiel a crevé.
Je voudrais vomir l'existence.
au Refrain
Je fus bon ouvrier tailleur,
Vieux, que suis-je ? Une loque immonde.
C'est l'histoire du travailleur,
Depuis que notre monde est monde.
au Refrain
Maigre salaire et nul repos,
Il faut qu'on s'y fasse ou qu'on crève.
Bonnets carrés et chassepots
Ne se mettent jamais en grève.
au Refrain
Malheur ! Ils nous font la leçon,
Ils prêchent l'ordre et la famille :
La guerre a tué mon garçon,
Le luxe a débauché ma fille !
au Refrain
De ces détrousseurs inhumains,
L'Eglise bénit les sacoches
Et leur bon Dieu nous tient les mains
Pendant qu'on fouille dans nos poches.
au Refrain
Un jour, le ciel s'est éclairé,
Le soleil a lui dans mon bouge.
J'ai pris l'arme d'un fédéré,
Et j'ai suivi le drapeau rouge.
au Refrain
Mais, par mille, on nous coucha bas :
C'était sinistre au clair de lune.
Quand on m'a retiré du tas,
J'ai crié "Vive la Commune !"
au Refrain
Adieu, martyrs de Satory !
Adieu, nos châteaux en Espagne !
Ah ! Mourons... Ce monde est pourri.
On en sort comme on sort d'un bagne.
au Refrain
[A la morgue on coucha son corps.
Et tous les jours, dalles de pierre,
Vous étalez de nouveaux morts,
Les otages de la misère !
au Refrain]
paroles Eugène Pottier .

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Je ne sais pas si les gens du medef connaissaient l'environnement social de leur chère patronne, si c'est le cas cela nous éclaire sur leur conception du dialogue social.
On le remarque aussi dans le cas de la Guadeloupe où du côté patronal c'était le medef qui s'opposait à l'accord.
Nous connaissons tous des gens du côté salarié qui prônent le dialogue social de même qu'il y en a du côté patronal, mais tant qu'il y aura cette mentalité "ancien régime" qui semble perdurer du côté du medef, la posture du compromis ne sera pas la bonne car du côté patronal, la lutte des classes est toujours à l'ordre du jour.
Pour la manif de demain, et pour les jours suivants, nous recherchons désespérément un Elie Domota...

Madame la MEDEF : une histoire de famille

Salut à tous. Etant Indépendant, je n'ai pas vécu la réalité de la vie en entreprise. Cependant, en écoutant les inepties proférées par Mme Parisot à longueur d'antenne, je me doutais bien que nous avions à faire à une "héritière", (ignorante ? inconsciente ?)qui ne connait de l'entreprise que les comptes d'exploitation, et encore...
Alors, les petits détails subalternes(stress, enfants malades, suicides au travail) ne sont sans doute que de mauvais moments à endurer... pour un patron qui sait, lui, l'âpreté et la Valeur du travail ! Merci à François Ruffin, enfin un journaliste informé parce qu'il s'informe aussi sur le terrain où nombre de ses collègues médiatisés ne vont plus.