Pierre Granier : J’ai envoyé ce message, sans grand espoir d’être écouté, aux responsable de la grille de programme.

De : Pierre Granier
Envoyé : lundi 4 septembre 2006 17:07
Objet : J’ai envoyé ce message, sans grand espoir d’être écouté, aux responsable de la grille de programme.

Bonjour,

J’écoutais encore France Inter malgré votre couverture abominable du dernier référendum. J’écoutais surtout les émissions musicales car les autres, hormis Là bas si j’y suis, ne me plaisait plus vraiment.
Pourtant, il y a quelques années, je ne ratais aucun 7-9 et peu de 13:00. De plus, pour ne plus avoir de pub, je les écoutais en différé sur internet.
Je regarde la nouvelle grille et je constate deux phénomènes :
1) Là-bas si j’y suis à 15:00. Je suppose que c’est pour pouvoir justifier son abandon prochain puisque cette émission drainera moins d’auditeurs (c’est mécanique : entre deux et trois les gens travaillent)
2) Une invasion des émissions courtes. C’est pour mettre plus de pub ? Ces émmissions ont pour but d’attirer plus d’auditeurs ?
Je pense que cette année, France Inter va perdre de sa qualité et de ses auditeurs.
Pour ma part, je n’écouterais plus que Là-bas si j’y suis et quelques émissions de musique. Le 7-9 et minable et le 13:00 trop court.

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Zoom

  • Tout un été Là-bas Hommage à Adolfo Kaminsky, résistant et faussaire modeste et génial Abonnés

    Le

    Voir

    Pour sauver des enfants juifs de la mort, il fallait leur fabriquer des faux papiers très vite, jour et nuit, sans s’arrêter. Adolfo Kaminsky, « le faussaire de Paris », a sauvé des milliers de Juifs pendant la guerre, gratuitement. Par la suite, de la même façon, il soutient le FLN algérien, puis toutes les grandes luttes, de l’Amérique latine à l’Afrique du Sud. Faussaire, résistant et photographe, Adolfo Kaminsky est mort le 9 janvier à 97 ans. Ce Mercredito lui est consacré, en hommage.

  • Pourquoi perdre sa vie à la gagner tout en salopant encore plus la planète ? BIFURQUER : et si on arrêtait de collaborer à notre propre destruction ? Abonnés

    Le

    Voir

    Tout plaquer, déserter, mettre les voiles : on en rêve, mais combien le font ? Pourtant, aujourd’hui, on peut rapprocher des rejets et des refus qui tracent une rupture étonnante. Gagnés par l’« éco-anxiété », des jeunes ingénieurs agronomes refusent d’entrer dans la carrière et de collaborer au système. Leur vidéo compte dix millions de vues en quelques jours. Une importante pénurie de main-d’œuvre frappe aussi bien la restauration que le transport, l’agriculture ou le BTP. Le patronat s’arrache les cheveux. Des milliers de postes d’enseignants et de soignants ne trouvent pas preneurs. Les conditions méprisantes de travail n’expliquent pas tout. Le confinement et le télétravail non plus. Aux États-Unis, on parle du « BIG QUIT », la grande démission. Dans l’été 2021, on estime que 4,3 millions de personnes ont quitté volontairement leur job, soit environ 3 % de la population active américaine.

  • Tout un été Là-bas Bon anniversaire la guerre ! Abonnés

    Le

    Voir

    Tous derrière BHL ! Des armes pour l’Ukraine ! Soutien unanime ! La moindre hésitation fait de vous un suppôt de Poutine, la moindre réserve fait de vous un munichois. Bien au chaud derrière leur écran, les va-t-en-guerre poussent à la course aux armements. À table, on parle des performances des chars, de la portée des missiles et de la livraison des canons CAESAR. Le prof de musique se voit dénoncé par les parents d’élèves pour avoir évoqué les musiciens russes dans son cours. Comme d’habitude, la guerre est une aubaine pour les médias qui entretiennent chaque jour le feuilleton.