— Le , par gh.
La collecte des poubelles reprendra quand la réforme des retraites sera à la poubelle Anonyme
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Malgré quelques prétendues démocratisations, la « grande musique » reste pour la bourgeoisie le symbole le plus boursouflé de sa distinction. Mais, il y a bientôt cinquante ans, un étonnant mouvement d’enseignement de la musique destiné à la jeunesse des favelas de Caracas, nommé El Sistema, initié par José Antonio Abreu, économiste et musicien, allait rencontrer un formidable succès à travers le monde.
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Il y a plus de quarante ans, Total, Shell, Exxon, et tout ce qu’on appelle le Big Oil, avaient prévu la catastrophe écologique actuelle. Ils savaient mais ils n’ont rien dit. Pourquoi ? Au nom d’un principe simple et largement accepté, la recherche du profit maximum. Pourtant, y-a-il plus grand crime contre l’humanité et contre la planète dans l’histoire humaine ? D’autant qu’ils ne sont pas seuls.
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De #Meetoo à Sandrine Rousseau, le féminisme est à la une. Déballage, voyeurisme, coups de com’, c’est une aubaine pour les médias et un os à ronger pour les réacs qui se pourlèchent. Rien de surprenant, rien de nouveau. Toute lutte suffisamment radicale entraine des dérives et des instrumentalisations où l’adversaire vient chercher les moyens de pourrir le mouvement. Et il faut admettre que Sandrine Rousseau leur facilite la tâche. Mais sous cette mousse, l’émancipation des femmes sur le temps long, se fraie malgré tout un chemin, à coups de luttes parfois violentes, parfois masquées, souvent ignorées et souvent oubliées, surtout si elles apportent des progrès aussi considérables que le contrôle des naissances et la reconnaissance du viol comme un crime.
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Bosser jusqu’à 64 ans, c’est non. C’est un non unanime, du bistrot du coin aux spécialistes les plus malins, c’est non monsieur Macron, la réforme des retraites on n’en veut pas. Bon, c’est vrai, la retraite on n’y pense pas toute sa vie, les jeunes ne pensent pas qu’ils seront vieux, les vieux c’est un autre monde. Pourtant c’est là que l’inégalité est la plus évidente.
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Ils sont partis à pied de la ZAD d’Agen pour venir dénoncer l’hypocrisie de la COP 21 à Paris. Qui sont ces "zadistes" qualifiés de "djihadistes verts" lors de la mort de Rémi Fraisse ?
Écolos radicaux et donc anticapitalistes, ils veulent un monde différent (...)
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Bien sûr, on est contre la violence, bien sûr, la violence, c’est pas bien. Pourtant, les « gilets jaunes » ont montré qu’en politique, il ne restait guère que la violence pour se faire entendre et malgré ça, les Français continuent de les soutenir. Et vous, à qui voudriez-vous casser la gueule ? Macron, bien sûr ! Mais sinon ? Votre chef, votre mari, votre prof ou qui encore ?
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Août 1944. À la libération de Paris, journalistes et poètes résistants donnent naissance à la radio nationale qui deviendra Radio France.
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Je suis un bourgeois et j’en suis fier. Personne ne dit une chose pareille. Le bourgeois, c’est l’autre, le bobo, le faux-cul, le gras du bide. Et encore, ça se dit plus, bourgeois, c’est désuet. Depuis longtemps, le bourgeois a appris à se déguiser. Une casquette de pêcheur, une veste de paysan, un blue jean comme les ouvriers. Il a entonné des discours indignés et révoltés contre le mal, contre le fascisme et contre les cons. C’est un libertaire, le bourgeois. Contre l’impôt, contre le voile, contre les flux migratoires incontrôlés. Il proclame la révolution. C’est le titre du livre d’Emmanuel Macron, RÉVOLUTION. Il est progressiste aussi. Le mouvement qui soutient Macron se proclame « progressiste ».