Poitou-Charentes

Dans cette région

  • Bressuire Accès libreY aller

    Le, par Christine

    Etablissement :
    Salle de la gare de frêt
    bd du maréchal Foch
    79300 Bressuire
    Animatrice : Christine
    Courriel : caferepairebressuire[a]gmail.com
    Téléphone : 05 49 65 14 95
    Rdv : 1er vendredi à 19h30

  • La Rochelle Accès libreY aller

    Le

    Le Bathyscaphe-Bar,
    13, rue du Cerf Volant
    17000 La Rochelle
    Animatrice : Sylviane
    Site : caferepairelarochelle.wordpress.com
    Téléphone : 06 77 64 41 67

  • Niort Accès libreY aller

    Le, par Maïwenn

    Etablissement
    Le Duguesclin
    19, rue pluviault
    79000 Niort
    Téléphone du restaurant : 05 49 24 02 57
    Animatrice : Maïwenn
    Courriel : maiwenn.goyaud[a]free.fr
    Rdv : 3ème mardi

  • Saintes Accès libreY aller

    Le, par Denys

    Etablissement
    La Musardière
    29 rue Alsace Lorraine
    17100 Saintes
    Animateur : Denys Piningre
    Courriel :
    Téléphone : 06 75 60 86 88
    Site : https://www.facebook.com/CafeRepaireDeSaintes/?fref=ts
    Rdv : 2ème mercredi de 18h à 20h

  • Thouars Accès libreY aller

    Le, par Marie-France

    Etablissement
    Café des Arts
    53, rue St Médard
    79100 Thouars
    Téléphone du café : 05 49 66 09 13
    Animateur : Marie-France
    Courriel : mauvrel[a]gmail.com
    Téléphone : 05 49 66 67 32
    Rdv : 1er et 3ème lundi à 18h

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Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

Le

La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

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« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

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Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.