Reportage place de la Sorbonne, à la cérémonie d’hommage national à Samuel Paty

Un hommage, des dommages Abonnés

1

Le

Paris, mercredi 21 octobre, hommage national au professeur assassiné, Samuel Paty. Les images de la cérémonie dans la cour de la Sorbonne ont été vues dans le monde entier. Sur des écrans à l’extérieur, le public pouvait suivre hommages et discours solennels devant le cercueil du prof d’histoire. Émotion, silence, applaudissements. Mais paroles aussi dans le public. Compassion, haine, revanche, mais surtout désarroi, profond désarroi à l’image de tout un pays en état de choc, en proie à toutes les manipulations.

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

reportage : Dillah Teibi
réalisation : Sylvain Richard

L'équipe de Là-bas attend vos messages dans les commentaires et sur le répondeur au 01 85 08 37 37 !

Dossier : Il y a deux ans, Samuel Paty : trois articles à retrouver

Il y a deux ans, le 16 octobre 2020, le choc de l’assassinat de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, avait déclenché un déchaînement de récupérations médiatiques et politiques. Deux années après, les questions fondamentales sont toujours présentes. Voici trois de nos articles sur ce sujet, autant pour sortir de la langue de bois commémorative que pour échapper aux instrumentalisations de l’extrême droite, comme diverses nuances de racisme cachées derrière le bouclier de la laïcité.

À écouter

  • Reportage place de la Sorbonne, à la cérémonie d’hommage national à Samuel Paty

    Un hommage, des dommages Abonnés

    Écouter
    Paris, mercredi 21 octobre, hommage national au professeur assassiné, Samuel Paty. Les images de la cérémonie dans la cour de la Sorbonne ont été vues dans le monde entier. Sur des écrans à l’extérieur, le public pouvait suivre hommages et (...)

À voir

  • Entretien avec le sociologue François Héran (2/2), qui publie « Avec l’immigration. Mesurer, débattre, agir » (La Découverte)

    Migrants, cadavres en morceaux… Abonnés

    Voir
    Choquant, provoquant, mais réel. Depuis des années, les habitants de Zarzis, sur la côte tunisienne, recueillent comme ils peuvent les corps des migrants noyés en Méditerranée. 20 000 morts depuis 2014. Une forte augmentation suite au Covid. (...)
  • Avec le sociologue François Héran qui publie « Lettre aux professeurs sur la liberté d’expression » (La découverte)

    Les islamo-gauchistes mangeront-ils nos enfants ? Rencontre avec François Héran (1/2) Abonnés

    Voir
    Suite à l’assassinat de Samuel Paty en octobre 2020, le sociologue et démographe François Héran, professeur au Collège de France, a adressé une Lettre aux professeurs sur la liberté d’expression. C’est la base du livre qu’il publie à la (...)

À lire

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Une nouvelle série de reportages en 18 épisodes À qui voulez-vous casser la gueule ? [L’INTÉGRALE] AbonnésÉcouter

Le

Bien sûr, on est contre la violence, bien sûr, la violence, c’est pas bien. Pourtant, les « gilets jaunes » ont montré qu’en politique, il ne restait guère que la violence pour se faire entendre et malgré ça, les Français continuent de les soutenir. Et vous, à qui voudriez-vous casser la gueule ? Macron, bien sûr ! Mais sinon ? Votre chef, votre mari, votre prof ou qui encore ?

Chacun a en soi un bourgeois qui sommeille François Bégaudeau : « Je rêverais qu’une assemblée populaire administre France Inter » AbonnésVoir

Le

Je suis un bourgeois et j’en suis fier. Personne ne dit une chose pareille. Le bourgeois, c’est l’autre, le bobo, le faux-cul, le gras du bide. Et encore, ça se dit plus, bourgeois, c’est désuet. Depuis longtemps, le bourgeois a appris à se déguiser. Une casquette de pêcheur, une veste de paysan, un blue jean comme les ouvriers. Il a entonné des discours indignés et révoltés contre le mal, contre le fascisme et contre les cons. C’est un libertaire, le bourgeois. Contre l’impôt, contre le voile, contre les flux migratoires incontrôlés. Il proclame la révolution. C’est le titre du livre d’Emmanuel Macron, RÉVOLUTION. Il est progressiste aussi. Le mouvement qui soutient Macron se proclame « progressiste ».

C’est le printemps !!!! Accès libreÉcouter

Le

Musicale pour fêter l’arrivée des beaux jours...
avec Edith Piaf "Enfin le printemps", Jacques Prévert "Le temps perdu", Aznavour "C’est le printemps", Bourvil, Lester Young "Two to tango" et les Fabulous troubadours "Y des Garçons"