Un reportage de Daniel Mermet (1994)

Sur le chemin de l’école

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement
Sur le chemin de l’école [11 mars 1994]
Là-bas si j’y suis

Quarante ans après, Daniel Mermet refait le chemin de son école sans même savoir si l’école existe toujours. Des milliers d’auditeurs se sont retrouvés dans ce reportage et certains à leur tour ont refait le chemin de leur école. Jeune reporter, Zoé Varier accompagnait Daniel dans ce voyage mis en ondes par le grand Christian Rose.

Un reportage de Daniel Mermet et Zoé Varier, diffusé la première fois le 11 mars 1994 sur France Inter.

Programmation musicale :
 Ennio Morricone : Cinema Paradiso
 Alain Souchon : Les filles électriques

reportage : Daniel Mermet et Zoé Varier
réalisation : Christian Rose, Antoine Chao et Yann Chouquet

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

SI J’AURAIS SU ! Un nouveau rendez-vous LÀ-BAS avec LAURENCE DE COCK CONTRE LA DESTRUCTION DE L’ÉCOLE PUBLIQUE DANS LE 93 ! AbonnésVoir

Le

Laurence de Cock reçoit trois enseignantes du 93, Servanne, Louise et Amandine qui n’ont pas envie de laisser le pouvoir aux destructeurs de l’école publique. Leur but est clair : lutter à fond contre cette destruction, montrer les dégâts, et appeler toutes et tous à la castagne. Oui, entre privé et public c’est la vraie lutte des classes.

Gérard Mordillat : « Vive l’école publique ! » AbonnésVoir

Le

C’est un séparatisme qui ne dit pas son nom, mais qui est déjà à l’œuvre de manière éclatante dans la capitale : à Paris, 40 % des lycéens sont scolarisés dans un établissement privé. À l’échelle nationale, la proportion d’élèves scolarisés dans le privé est moindre, mais elle ne cesse de croître. Tout ça est la lointaine conséquence de la loi Debré, adoptée le 29 décembre 1959, qui institutionnalisa le financement public de l’enseignement privé. Durant l’année 1959 déjà, de nombreuses manifestations avaient eu lieu pour s’opposer à ce détournement de fonds publics au profit de l’enseignement privé. Et devinez : qui se trouvait parmi les manifestants ? Gérard Mordillat, bien sûr.

Bifurquer. Claquer la porte et aller planter vos choux bio, vous en rêvez ? Un ancien de Là-bas raconte sa bifurcation heureuse. Reportage radio. PODCAST Rompre les rangs : la nouvelle vie de Grégory Salomonovitch AbonnésÉcouter

Le

« BIFURQUER ». C’est le mot de l’été chez les bobos toujours futés. Bifurquer, démissionner, déserter. Une mode passagère ou une vague de fond ? Le discours rebelle d’une poignée de jeunes diplômés d’AgroParisTech contre l’ordre néolibéral, lors de la remise de leur diplôme le 10 mai 2022, a été vu des millions de fois sur les réseaux. Il s’agit en somme de rompre les rangs. Rompre avec le capitalisme ou, tout au contraire, montrer qu’un autre capitalisme est possible ? Et puis bifurquer, mais dans quelle direction ? L’alternative est souvent le retour à la terre.

Entre guerre, covid et planète pourrie, la jeunesse se fait du souci. Des rencontres inattendues avec notre belle jeunesse. [PODCAST] Les élections ? Quelles élections ? La jeunesse elle en dit quoi ? [INTÉGRALE] Accès libreÉcouter

Le

Entre guerre, covid et planète pourrie la jeunesse se fait du souci. Pas le même genre de souci pour le fils à papa de Neuilly et la fille en galère dans sa piaule pourrie. Et alors les élections dans tout ça les jeunes, vous en attendez quoi ? Sophie a tendu son micro un peu partout. Voilà une série de rencontres inattendues, loin des chiffres et des vieux gros clichés sur notre belle jeunesse. Et surtout quel rapport avec ces candidats qui parlent et qui s’agitent ?