2013-14

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  • Les débats du Diplo Accès libre

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    Comme en début de chaque mois, retrouvez ce jeudi 5 septembre les grands thèmes du Monde diplomatique de septembre en compagnie de Serge Halimi, Alain Gresh, Jérôme Berthaut, Christiane Marty et Benoît Bréville.
  • Les prisons de Là-bas Accès libre

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    Là-bas n’aime pas les murs, Là-bas préfère les ponts. Là-bas préfère les viaducs aux miradors, les passerelles aux cloisons. Là-bas sait que même les plus grandes murailles, les prisons les plus « hight tech », les plus « sécures » (…)
  • Rifaat Jimmy Turk Accès libre

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    A Jaffa, Rifaat le footballeur est une légende. Il n’a pourtant jamais gagné de coupe du Monde, n’a jamais été mutin dans un bus, ni n’a eu recours à une escort girl. Son palmarès est riche d’une révolution : il a été le premier (…)

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Une sélection :

Une série d’histoires dans les luttes pour l’émancipation, racontées par Olivier Besancenot La révolution des œillets : quand un coup d’État militaire met fin à une dictature AbonnésVoir

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Le 25 avril 1974, peu après minuit, la radio portugaise diffuse la chanson de Zeca Afonso, Grândola, Vila Morena. Pour ses auditeurs avertis, c’est le signe du déclenchement du coup d’État qu’on retiendra comme la « révolution des œillets », qui mit fin à 41 années de dictature. De 1932 à 1968, l’État nouveau (« Estado Novo »), ce fascisme à la portuguaise, fut dirigé par António de Oliveira Salazar, un dictateur autoritaire, conservateur, catholique, nationaliste, anti-communiste et colonialiste.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

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Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)