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La chasse à la palombe

Le 28 novembre 2006

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Reportage de Antoine Chao. Comment chasse-t-on la palombe sans fusil ?
Avec Gérard COMA, Laurent PLANTON, Philippe BEZIADE, ET AUSSI Odette, Jeannot et Jean-Luc.

A lire :

LE PALOUMAÏRE de Gérard COMA
aux éd. sud ouest
Sur la toile :

Un site à découvrir : www.adiu.fr site d’information sur le « village local Sud Gironde »

28 novembre 2006 - La chasse à la palombe

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28 novembre 2006 - La chasse à la palombe
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Tous vos commentaires (16)

# Le 30 octobre 2014 à 20:06, par beauce En réponse à : La chasse à la palombe

nous sommes le 30 octobre 2014 il est 19h55,je viens de changer de chaî
ne de tv ÉCOEURÉ,car figurez vous que les invités de l’ émission "c à vous" de la 5,se rassasient avec bonheur de cuisses de palombe !!!!cuisine BIO précise fièrement le cuisinier,quelle honte et quelle déception ,cette émision me plaisait bien.

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# Le 24 octobre 2010 à 03:07, par bondil danièle En réponse à : La chasse à la palombe

Mon mari rêve de chasser la palombe, je voudrais lui offrir un week end de chasse pour son anniversaire, j’aimerai également pouvoir l’accompagner en tant que spectateur. je cherche donc quelqu’un qui pourrait nous aceuillir tous les deux àun prix raisonnable. vous pouvez me contacter au 0680881473

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# Le 5 décembre 2006 à 00:31, par ledav En réponse à : La chasse à la palombe

C’est vrai qu’y sont mignons,j’en ai meme vu une bien roulée sur fr3, pour des chasseurs, surtout quand y disent : c’est la seule chasse où le gibier est à égalité avec le chasseur, où il a "sa" chance ... (texto) et là... tout de suite, vous vous mettez à imaginer le pire : une palombe, simple et honnete, mais avec tout de meme un petit rictus moqueur, avec la clope au coin du bec( meme si elle sait que c’est interdit de fumer dans une palombiere), en train de monter un piege odieux, pour faire tomber un brave homme, de bonne foi, dans une machination machiavelique : une bouteille de "Veuve romanée conti" suspendue au dessus du vide et , parce que la palombe n’est pas foncierement mauvaise(surtout en paté)un appeau timide, qui imite le cri de la bouteille , vous savez quand elle est pleine, qu’elle souffre et qu’elle demande qu’on la vide.. et là irremediablement on retombe dans le drame et l’horreur et le scandale ressurgi:alors là mes petits amis,pour éviter toute équivoque, il n’y a pas de petite chasse qui tienne, d’un coté comme de l’autre, notre liberté s’arrete là où elle commence,non ? alors, tous ensemble, mes petits palombeaux, défendons une bonne chasse "correque" ,au chasseur, qui ne soit pas cruelle : laissons les gouter à l’appat... et achevons les proprement !

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# Le 4 décembre 2006 à 23:19, par Jean-Pierre Choisy En réponse à : La chasse à la palombe : quoi est-il question ?

J’ai raté l’émission. Donc, je réagis uniquement à votre courriel. Parce que c’est une question générale.
Si le thème de votre émission était la chasse à la palombe elle-même, c’est à dire une activité humaine, tout documentaire à son intérêt, de même que toute discussion avec ceux qui la pratique. C’est d’ailleurs bien le point de vue des sociologues. Donc, les reproches qu’on a vous a fait sont infondés.
Si, à un moment ou à un autre, on a abordé l’état et la dynamique des populations de l’espèce objet de cette activités, comment l’a-t-on fait ?
– si le thème de l’émission avait été la réalité faunistique concrète, la dynamique des populations est une branche de la biologie qui nécessité A LA FOIS une masse de données acquises sur le terrain, puis traitement statistique et de modélisation mathématique, enfin une compétence de biologiste des populations. Que des chasseurs ou qui que soit d’autre prétende remplacer les compétences et le travail par le "pifomètre" est risible ! Autant croire qu’avoir contemplé les étoiles depuis l’enfance autorisé à émettre un avis fondé en astronomie ! Il serait tout aussi infondé et dérisoire que les ornithologues spécialistes de la biologie des populations de palombes, sur cette seule base, prétende à la moindre compétence technique en matière d’exercice des méthodes de chasse objet de votre émission ;
– s’il s’agissait de l’avis subjectif de pratiquants de la chasse, vous n’aviez pas à le censurer ni des auditeurs à en s’en offusquer...A UNE CONDITION : que votre émission présente sans ambiguité ces propos pour ce qu’ils sont : des opinions, comme on peut en entendre au café, lieu fort convivial, mais où l’on peut dificile trouver des interprétations fiables de questions scientifiques. Faute de la moindre relativisation de ces opinions, vous mettez la puissance de votre média à leur service. C’est une responsabilité concernant d’une espèce dont les populations ont très fortement régresser du fait de prélèvements très excessifs.
La mode obscurantiste du relativisme culturel généralisé oblige à de continuelles rectifications : toute représentation est intéressante à connaître et même à étudier ; mais le réel existe indépendamment de nos représentations ! Sinon, les situations les plus tragiques se résoudraient par l’autosugestion...
Il peut être très intéressant d’interviwer des gens qui croient que la terre est plate.
Du point de vue de la connaissance factuel du monde réel, depuis Magellan, le débat est clos.
Ceci dit, ce n’est pas en réagissant par l’invective ni en exigeant de vous une auto-censure qu’on fait progresser le débat, quel qu’en soit l’objet.
Je suis un biologiste travaillant sur la Faune au Parc Naturel Régional du Vercors, tous les jours sur le terrain, toute l’année et non pas les week-ends d’une saison par an, travaillant sur d’autres espèces que la palombe (Bouquetin, Vautours, etc.) et non pas seulement dans le Vercors. Comme auditeur, je ne vois pas comment je peux avoir d’autre TEST de votre CREDIBILITE générale concernant les domaines où je suis incompétent (l’immense majorité) que celles de vos émissions traitant de quelques sujets où j’ai quelque compétence.

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# Le 4 décembre 2006 à 22:35 En réponse à : La chasse à la palombe

Bonsoir,
Il se trouve que je n’étais pas disponible pour écouter votre émission sur la chasse à la palombe.
Je suis d’une région ou la chasse au canard est un trésor culturel en voie d’extinction ! L’usage des produits chimiques dans l’agriculture et l’industrialisation des estuaires sont responsables de sa disparition, mais ce sont les chasseurs qui sont accusés.
Qui les verts protègent-ils et pourquoi ?
Pierre.

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# Le 4 décembre 2006 à 21:48, par Rémy. En réponse à : La chasse à la palombe

La chasse déclenche toujours la colère des citadins, des sentimentaux,
des écologistes simplistes(heureusement, il y en a des réfléchis) ; mais toutes ces personnes si elles mangent de la viande tout les jours, elles auront tué plus d’animaux que les chasseurs dans leur vie. Car leurs prélèvements sont en fait assez faibles.
D’autre part,les victimes des chasseurs meurent brutalement aprés une
vie de liberté ; que dire de la vie des animaux d’élevage ! qui est ignoble de la naissance à la mort ! et bien pire que ce qu’on imagine.
Et en ce qui concerne les sous produits, quelle vie ont les poules pondeuses ! et lorsqu’on mange du fromage de chèvre(produit du terroir...)sait-on que beaucoup de chèvres vivent des années enfermées dans des hangars traites 2 fois/jour ! etc etc en comparaison, les chasseurs sont plutôt sympas...ceux qui sont sérieux.

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# Le 4 décembre 2006 à 20:54 En réponse à : La chasse à la palombe

Bonjour,
Je suis à l’extrême gauche depuis que ma mémoire me permet de savoir que j’ai une conscience. Je suis chasseur depuis l’âge de dix ans (ou peut être moins) avec mon premier lance-pierre... Je suis fatigué de défendre la chasse. Comment expliquer à un citadin que son aversion qui parait symbole de modernité n’est que le produit d’une société urbaine où l’homme se prend pour un Dieu ? Comment vous faire comprendre que nous ne sommes que des animaux prétentieux ? Qui fait encore la différence entre protection de la nature (écologie) et protection de l’animal (philosophie ou religion) ? Les caricatures de chasseurs sont les mêmes que celles que les urbains faisaient des paysans il y a cinquante ans. A la fois vraies (ils sont souvent frustres) mais aussi totalement fausses (leur principal défaut est d’être souvent issus de milieux populaires).

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# Le 4 décembre 2006 à 18:52 En réponse à : La chasse à la palombe

Cela reste effectivement une des chasses les plus "réspectueuses". Quand elle est pratiqué "correctement" (pas de tir au vol) ils en prélevent rélativement peu (mon beau-père en est à une vingtaine par an). A ce sujet il aurait été souhaitable d’avoir quelques chiffres en plus (évolution du nombre total de palombes, du nombre prélevé en posant, ou au tir au vol, le total prélevé, etc...), pour pouvoir estimer si c’est une pratique "durable" ou pas.

Cependant, ce qui me fait rigoler est le concept de "chasseur à égalité avec sa proie". C’est quoi ça ? Quand les palombes auront des fusils et préleveront des chasseurs, et quand le nombre de chasseurs prélevés est identique à celui des palombes prélevés on peut, peut être, attribuer un sens à ce concepte. Mais en l’état actuel cette expression reste totalement incompréhensible pour moi. Quelqu’un peut m’éclairer ??

Lup

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# Le 4 décembre 2006 à 17:30, par bernès En réponse à : La chasse à la palombe

bonjour, je suis originaire du Sud Ouest, je ne suis pas chasseur mais mes frères et mon père le sont.
J’ai trouvé l’émission sur la chasse à la palombe, très fidèle de ce que l’on vit dans ces antres de bien vivre et un peu à l’écart du reste du monde. La chasse est souvent un prétexte aux ripailles gasconnes, et l’émission reste assez en dessous au niveau descriptif de ces agapes... Par contre la technique, appaût et autre est des plus descriptive.
Anecdotes : accompagnant mon frère lors d’une chasse en cabane, j’ai eu le privilège des nouveaux, c’est-à-dire tirer en premier sur une belle palombe, je m’applique (pensez un non chasseur), je vise et tire, touchée la bête, sous des éclats de rires, c’était une factice.
continuez bien !!!

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# Le 4 décembre 2006 à 16:06, par Pogomai En réponse à : La chasse à la palombe

Un jour, j’ai laissé traîné une caméra dans les bois profonds de ce que l’on appelle les Landes, sur les traces des chasseurs de palombes et autres bêtes à plumes. J’y ai rencontré des gens avec qui je ne partageais certes pas tout de la vie - loin s’en faut et tant mieux- mais avec qui j’ai vécu des vrais moments de plaisirs, de gamberge sur la vie... la politique, l’Europe et ses normes ravageuses d’espace et de liberté, la mondialisation et ses conséquences désastreuses pour le peu d’industrie ayant survécu dans la région. La plupart étaient d’anciens ouvriers à la retraite qui longtemps avaient voté PC, PS, voire Arlette Laguiller mais qui, exaspérés des caricatures que la gente citadine avaient l’habitude de faire d’eux, avouaient avoir envie de se venger en brandissant le chiffon sale du FN sous le nez des bobos. certains sont sans doute passé à l’acte en 2002, d’autres pas... A l’époque, je me suis dit que les Verts jouaient mal... eux qui ne savaient pas produire une pensée, un discours cohérent, en direction de cette population et laissaient les "intégristes" à la Bardot occuper l’espace. Que tout le monde jouait mal dans ce dossier, comme dans tant d’autres d’ailleurs...
Bravo donc à La-bas si j’y suis de mettre en avant des modes de pensée fondés sur des convictions mais sans oeillères, ni catéchisme, ni esprit cloche-merle. Dans la diversité donc la richesse

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# Le 4 décembre 2006 à 14:13, par Christian Le Simple En réponse à : La chasse à la palombe

Bonjour.
Je n’ai pu écouter l’émission en direct. Je n’ai pas encore eu le temps de le faire depuis.
Je suis écolo, altermondialiste, auditeur de "là bas si j’y suis" quand je le peux, futur électeur de Ségolène à contre coeur si je n’ai pas d’autre choix... et chasseur (qui n’ai plus vraiment le temps d’aller à la chasse, mais qui garde cette culture familiale).
Ce n’est pas politiquement correct, je le sais. Mais je parle chasse à mes amis écologistes, je parle écologie aux chasseurs que je vois encore.
Et je suis bien content que "Là bas si j’y suis" sur ce sujet aussi se démarque des opinions toutes faites et fasse passer l’analyse et la réflexion avant le slogan. Maintenant il est hors de question de défendre ce qui est indéfendable.
Cordialement
Christian Le Simple

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# Le 4 décembre 2006 à 13:42, par Hérisson En réponse à : La chasse à la palombe

Bonjour,
Je suis dans un département où se pratique la chasse à la palombe, laquelle, comme toutes les chasses, m’exaspère profondément ; quant aux chasseurs de tous poils, je les considère comme un reliquat d’une ancienne civilisation, et surtout d’épouvantables beaufs ; du fait qu’ils sont armés, ils se permettent tout, y compris d’empêcher les promenades dans bois et campagnes et même de ralentir le traffic à cause de leurs chiens qui peuvent surgir sur les routes.
Mais, le chasseur est un électeur et nous ne sommes pas prêts de les voir
abandonner leur sanglante activité ; parmi eux, beaucoup de "front national" et ça se comprend, même mentalité ; c’est pourquoi je m’étonne
que Daniel Mermet ait pu se commettre avec ces......
A part cela, je reste accrochée à ses émissions et suis une de celles et ceux qui ont pétitionné.
Cordialement

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# Le 4 décembre 2006 à 13:30, par Sisinni En réponse à : La chasse à la palombe

Très bonne initiative. Je ne suis pas chasseur du tout mais j’ai beaucoup de tendresse pour ce type de chasse. Il y a là, une vraie poésie et on est loin du massacre. Il faut que ceux qui sont contre (en général urbains) fassent attention à leurs propos, ils confondent trop souvent sensibilité et sensiblerie. Et ce sont les mêmes qui vous tiennent ce genre de propos sans voir l’entrecôte qu’ils ont dans leur assiette. Que ceux qui mangent de la viande aient le courage de tuer les bêtes qu’ils mangent, ce sera déjà un grand pas.
Contrairement aux idées reçues, l’Office de la chasse fait beaucoup pour le repeublement du gibier. Chez moi je vis dans les Cévennes, je vois maintenant des cerfs parfois et des chevreuils très souvent et des sangliers (trop !). Le même travail a été fait en Espagne. Et si on trouve des truites dans nos rivières c’est grâce aux pêcheurs, pas aux écolos (de pacotille)dont la théorie consiste à laisser la nature faire. De tous temps il y a eu des prédateurs, c’est ce qui régule les populations. Remettre encore ça en question relève d’une méconnaissance des écosystèmes.
Voilà ce que j’avais à dire. Tous sujets méritent qu’on s’y intéresse.

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# Le 4 décembre 2006 à 12:22 En réponse à : La chasse à la palombe

Mon père est mort il y a 10 ans. C’était un chasseur de palombes. Il est mort à 65 ans comme la plupart des ouvriers. Heureusement, il a pu profiter de 5 ans de bonne vie grâce à la retraite à 60 ans (il travaillait depuis l’âge de 9 ans). La chasse, c’était son plaisir. Ma soeur et moi, on n’a pas arrêté de l’emmerder avec ça, pour les 10 oiseaux qu’il tuait par an. C’est bête.
Marie.

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# Le 4 décembre 2006 à 12:06, par Hugues En réponse à : La chasse à la palombe

Bonjour,
comme beaucoup d’auditeurs, j’ai été fort surpris de cette operation de "marketing" pour les chasseurs, à mon avis totalement indigne de cette emission...*
C’est bien la premiere fois que je me pose la question de la liberté des choix de "la bas si j’y suis"...
Une vraie déception...
alain hugues

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Baladar, une île heureuse, est envahie et exploitée par les continentaux de Tue-Tue-Paon-Paon attirés par la fièvre de l’or. Mais le balayeur municipal immigré, Quatre-Mains-à-l’Ouvrage, grâce à son courage et à son astuce, renverra à la mer les colonisateurs déconfits.

C’est pas tout le monde qui sait parler à tout le monde.

Parler à quelques-uns, entre soi, entre convaincus, c’est courant, entre ceux du même parti et du même monde. Mais c’est autre chose que de parler à tout le monde, aux mômes qui se marrent, à la mère qui conduit l’auto, au maçon qui a mis la radio, au grand philosophe qui se gare et aux peuples coloniaux qui sont en train de couper les ponts avec les grands ciseaux de l’histoire. Et ça, ça ne plait pas à tout le monde.

C’est en 1952 que Jacques Prévert et André François envoient cette lettre. Le combat anticolonialiste se développe partout et la répression n’est pas tendre. La France massacre à Madagascar et va cogner en Indochine. La majorité approuve le pouvoir. À l’époque, sous ses airs poétiques et bon enfant, cette histoire est un grinçant pamphlet anticolonialiste. Les indépendances arriveront plus tard avec cette interminable traînée de sang.

Aujourd’hui tout va bien, Donald Trump va coloniser le Groenland et Elon Musk la planète Mars.

Nous, il nous reste les îles Baladar.

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