Avril

Articles de cette rubrique

16 documents

  • Messages des auditeurs Accès libre

    Écouter
    Des messages sur le répondeur. Les réactions après les émissions sur Cuba. La chanson Guantanamera. Réactions aux émissions sur le vatican. Réactions à l’émission sur les fesses. Un auditeur s’élève contre l’importance des rediffusions. (…)
  • Quelques Indes, 14 et dernier Accès libre

    Écouter
    Inde dernière émission La crémation à Bénarès. Les enfants, les sadous, les femmes enceintes, les malades de la variole, les personnes piquées par un serpent ne sont pas brûlés. Les commerces autour de la crémation. Le rôle des doms, (…)
  • Quelques Indes, 13 Accès libre

    Écouter
    Inde : Bénarès La mort. La fête de la couleur. 100 à 150 000 pélerins par jour. à 16’05 le photographe des morts. à 30’45 La crémation. Les soins donnés aux morts avant la crémation. Aucune femme participe à la cérémonie. Les malades ne (…)
  • Quelques Indes, 12 Accès libre

    Écouter
    Les enfants esclaves, à côté de Delhi. les fabriques de tapis. 55 millions d’enfants au travail. Dans les plantations de thé. Les organisations indiennes qui luttent contre cet esclavage. à 16’10 Kalash Satiarti a fondé un ashram pour (…)
  • Quelques Indes, 11 Accès libre

    Écouter
    Les places de cinéma vendues au marché noir. La vie un dimanche à Calcutta à 11’15 une marchande de cassettes. La question du mariage. Les qualités de la femme idéale. Les bruits de Calcutta, ville dada. à 29’ un indien francophone, (…)
  • Quelques Indes, 10 Accès libre

    Écouter
    Calcutta : la gare Le mémorial à la reine Victoria. La surveillance des amoureux par la police. Le bazar, les coolies. La santé. La dignité des bengali. à 20’25 visite d’un hôpital public, le service des grands brulés. Parfois 3 (…)
  • Quelques Indes, 9 Accès libre

    Écouter
    Calcutta : descrption par Daniel Mermet. Les campagnes, 70% de l’Inde dans les villages. à 13’40 un sculpteur 17’ à 60km au nord de Calcutta, visite d’une tribu, les santals, sorte d’ intouchables. Leur mode de vie, leur religion. Les (…)
  • Quelques Indes, 8 Accès libre

    Écouter
    Dans la maison de mère Térésa. Historique de la ville, quelques phrases d’écrivains. à 9’30 le temple de Kali, Kali déesse de Calcutta. Histoire de la création du temple. Les offrandes des femmes désirant des enfants. à 19’20 l’autel de (…)
  • Quelques Indes, 7 Accès libre

    Écouter
    Calcutta, une petite mendiante. Description de Daniel MERMET. Les intellectuels de Calcutta. Le gange. Le pont. Le bain. à 20’40 les sadous à 28’30 distribution de biscuits aux mendiants par un commerçant. à 32’15 dans le parc du marbel (…)

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

Le

La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

Le

« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

Le

Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.