Concert exceptionnel pour l’AN 01 DE LÀ-BAS

Jazz pour Là-bas, une heure vingt neuf de bonheur

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Fête au LIEU-DIT pour souffler la première bougie du nouveau LÀ-BAS. Nous étions plus de 200 pour cette joyeuse soirée le 21 janvier. Merci encore à toutes et à tous, merci pour le soutien, merci pour l’amitié, pour la fête et pour la musique :
 GOLDEN JACK QUINTET
 HELMIE BELLINI SEXTET
VOICI CE CONCERT ENREGISTRÉ ET RÉALISÉ PAR NOTRE GRAND CHEF DU SON, JÉRÔME CHELIUS…
RÉGALEZ-VOUS, C’EST CADEAU, VIVA !

Écouter l'émission

  • 01. Vos messages sur le répondeur

    - MP3 - 10.6 Mio

  • 02. Golden Jack au Lieu-Dit

    - MP3 - 8.8 Mio

  • 03. Sandu

    - MP3 - 6.6 Mio

  • 04. Cantaloupe Island

    - MP3 - 7.5 Mio

  • 05. Daniel MERMET : « Abonnez votre banquier ! »

    - MP3 - 6 Mio

  • 06 Jazz…

    - MP3 - 8.8 Mio

  • 07. …et tête de veau

    - MP3 - 8.4 Mio

  • 08. Night in Tunisia

    - MP3 - 11.7 Mio

  • 09. Helmie BELLINI Sextet : « Nalingi Yo »

    - MP3 - 6.8 Mio

  • 10. Let’s go to Congo

    - MP3 - 9 Mio

  • 11. Footprints

    - MP3 - 10.8 Mio

  • 12. Walk Alone

    - MP3 - 8.3 Mio

  • 13. Kongo Square

    - MP3 - 8 Mio

Jazz et tête de veau (intégrale)
Là-bas si j’y suis

Réécoutez tous les titres ici :

Phil HILFIKER

01. Vos messages sur le répondeur
Là-bas si j’y suis
02. Golden Jack au Lieu-Dit
Là-bas si j’y suis
03. Sandu
Là-bas si j’y suis

Daniel MERMET

04. Cantaloupe Island
Là-bas si j’y suis
05. Daniel MERMET : « Abonnez votre banquier ! »
Là-bas si j’y suis
06 Jazz…
Là-bas si j’y suis

Golden Jack Quintet

07. …et tête de veau
Là-bas si j’y suis
08. Night in Tunisia
Là-bas si j’y suis
09. Helmie BELLINI Sextet : « Nalingi Yo »
Là-bas si j’y suis

Merci à toutes et à tous !

10. Let’s go to Congo
Là-bas si j’y suis
11. Footprints
Là-bas si j’y suis
12. Walk Alone
Là-bas si j’y suis

Helmie BELLINI

13. Kongo Square
Là-bas si j’y suis

Merci au Golden Jack Quintet :
 Colin Parent : Sax ténor
 Phil Hilfiker : Sax alto
 Clément Mollon : Guitare électrique
 David Franco : Basse électrique
 Rémy-B Lessage : Batterie

et merci à Helmie BELLINI (chant).

Merci aussi à Hossein et à toute l’équipe du Lieu-Dit.
musique : Golden Jack & Helmie Bellini Sextet
arrangements répertoire : Clément MOLLON
compositions & arrangements standards : Helmie BELLINI
présentation : Daniel MERMET
réalisation : Jérôme CHELIUS
préparation : Grégory SALOMONOVITCH
photos : Jeanne LORRAIN & Jonathan DUONG

Le LIEU-DIT a des difficultés financières et risque de fermer. Pas d’hésitation, vite il faut soutenir et renflouer ce lieu modeste et génial, un havre et une île pour tout ce qui bouge encore dans la vraie gauche. Qui bouge encore et qui bouge à nouveau.

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Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

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La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

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« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

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Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.