Il publie aussi La Décadence des intellectuels ou Les riches font-ils le bonheur de tous ?, ou son retentissant Modernité et Holocauste (2002, éditions La Fabrique) où, loin des « souffrances narcissiques », il inscrit l’Holocauste dans la monstruosité banale de la modernité.
Né en Pologne dans une modeste famille juive laïque en 1925, il fuit l’antisémitisme et le nazisme en 1939. Réfugié en URSS, il devient officier dans l’Armée Rouge et participe à la libération de Berlin en 1945. Revenu à Varsovie, il publie ses premiers ouvrages. En 1968, fuyant la vague antisémite en Pologne, il s’installe en Israël et enseigne à Tel Aviv.
En 1972, il s’installe en Angleterre à Leeds. C’est là que nous le rencontrons chez lui, en décembre 2012, avec Giv Anquetil. À la fin, il nous rassure : « La possibilité du bien ne meurt jamais ».
Notre entretien avec Zygmunt BAUMAN en deux volets :
Programmation musicale :
– Franck London : In your garden twenty fecund fruit trees
– Wax Tailor : Past, present and future
– Laurie Anderson : O superman (for Massenet)
– Warsaw Village Band : Fishie
Pauline BOULET attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.
traduction : Giv ANQUETIL
réalisation : Lucie AKOUN et Chloé SANCHEZ
(Vous pouvez podcaster ce reportage en vous rendant dans la rubrique « Mon compte », en haut à droite de cette page.)