Noam Chomsky (91 ans), confiné en Arizona, répond à Srećko Horvat (DiEM25).
Nous vivons une crise mondiale intensifiée par la peste néolibérale. Il est plus rentable de fabriquer de nouvelles crèmes pour le corps que de trouver un vaccin pour protéger les gens de la destruction totale. Cette crise grave sera surmontée, mais deux grands fléaux arrivent vers nous : la guerre nucléaire et le réchauffement climatique. Il y a urgence et nous sommes désarmés par le néolibéralisme qui n’a aucun autre but que le profit, au détriment de la vie humaine. Faire face, ouvrir d’autres voies, tout dépend de chacun de nous. Il y a urgence. En conclusion, on entend le perroquet de Chomsky et on apprend qu’il sait dire « le pouvoir au peuple » en portugais…
Merci à Srećko Horvat et à DiEM25.