LE GRAND PROCÈS DE MACRON [INTÉGRAL] Abonnés

1

Le

Voici les vidéos tant attendues du grand procès public d’Emmanuel Macron. Avec le procureur Frédéric Lordon, le juge Daniel Mermet, les avocats de la défense Christophe Clerc et Jean-Marc Daniel et des témoins prestigieux, comme François Ruffin, Juan Branco, Mathilde Larrère, Didier Porte, Aurélie Trouvé, Marion Esnault, Arié Alimi, Taha Bouhafs… Macron sera-t-il condamné ?

Première partie :

Témoins cités :

  • Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail, syndicaliste, fondateur de la Gauche Démocratique & Social
  • Franciella Paturot, membre des femmes Gilets Jaunes d’Ile-de-France
  • Mathilde Larrère, historienne des révolutions
  • Roselyne, factrice dans les Hauts-de-Seine, en grève depuis plus de 400 jours.

Deuxième partie :

Témoins cités :

  • François "Bernard Arnault" Ruffin, député et milliardaire.
  • Aurélie Trouvé, économiste, porte-parole d’Attac
  • Marion Esnault, activiste climat, « décrocheuse » de portraits présidentiels
  • Arié Alimi, avocat de victimes de violences policières, et Taha Bouhafs, journaliste à Là-bas si j’y suis.

Troisième partie :

Réquisitions :

  • Frédéric Lordon, philosophe et procureur de la République populaire de Là-bas

Témoins cités :

  • Juan Branco, avocat.
  • Raquel Garrido, ancienne porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, avocate.
  • Didier Porte, humoriste et expert psychiatrique.

MERCI MACRON ! Oui, car qui aujourd’hui peut prétendre susciter un tel rejet ? Qui peut réunir un tel public contre lui-même et contre le monde qu’il représente ?

Le 7 mai, le GRAND PROCÈS DE MACRON a fait salle comble à la Bourse du travail de Paris. Drôle sur la forme, sérieux sur le fond, devant un public enthousiaste, regonflé à bloc. Vous n’avez pu être présent, mais rassurez-vous, Monsieur MACRON, la vidéo est là !

Profitez vite de l’abonnement spécial. Rejoignez les AMG, les Abonnés Modestes et Géniaux qui soutiennent notre manière de voir face à l’intoxication médiatique permanente. Ni publicité, ni subvention, ni milliardaire, ni marchand de canons, LÀ-BAS n’existe que grâce à ses abonnés. Seulement cinq euros par mois, le prix d’une pinte, bien moins chers qu’un seul paquet de cigarettes. N’hésitez pas.

Et encore MERCI MACRON !

Un merci particulier à Emmanuel Vire, du Syndicat national des journalistes-CGT (SNJ-CGT).

Abonnez-vous pour accéder à tous nos contenus, c’est très simple !

Depuis 1989 à la radio, Là-bas si j’y suis se développe avec succès aujourd’hui sur le net. En vous abonnant vous soutenez une manière de voir, critique et indépendante. L’information a un prix, celui de se donner les moyens de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre travail. C’est aussi le prix de notre indépendance, pour ne pas être soumis financièrement aux annonceurs, aux subventions publiques ou aux pouvoirs financiers.

Je m'abonne J'offre un abonnement

Déjà abonné.e ?
Identifiez-vous

juge : Daniel Mermet
assesseur : Bertrand Rothé
procureur : Frédéric Lordon
avocats de la défense : Christophe Clerc
Jean-Marc Daniel
réalisation : Jonathan Duong
image : Alexis Martzolf
Léa Bardiau
Cécile Frey
Nathan Garcia
son : Jérôme Chelius
montage : Kévin Accart
préparation : Jérémie Younes

Voir aussi

Écouter la deuxième partie du Grand Procès au format audio :

Écouter la troisième partie du Grand Procès au format audio :

Sur notre site

À lire

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

Le

La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

Le

« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

Le

Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.