LE GABON AU BORD DU CHAOS

GABON, AU DÉTRIMENT DU PEUPLE (2/2)

Le

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Avec ses fraudes et ses violences, la crise post-électorale au Gabon s’inscrit dans la tradition des mascarades électorales de la Françafrique. Avant tout, maintenir les intérêts des multinationales françaises et d’autres grandes puissances. Les rapports mafieux entre les satrapes africains et les pouvoirs des pays riches se font au détriment des Africains, maintenus dans le sous-développement et l’impuissance.

Voici la seconde partie de ce dossier, EN ACCÈS LIBRE GRÂCE AUX ABONNÉS MODESTES ET GÉNIAUX, avec :
 Vincent HUGEUX, grand reporter à L’Express, auteur du livre Reines d’Afrique, le roman vrai des premières dames, aux éditions Perrin
 Aminata TRAORÉ, ancienne ministre de la culture et du tourisme du Mali, candidate au secrétariat général de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

[LÀ-BAS SI JY' SUIS] Gabon, au détriment du peuple (2/2)
par Là-bas si j'y suis

Merci à Vincent HUGEUX et Aminata TRAORÉ.

Marie GALL attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37.

journaliste : Daniel MERMET
préparation : Sylvie COMA
réalisation : Jonathan DUONG et Jeanne LORRAIN
son : Sylvain RICHARD

(Vous pouvez podcaster ces vidéos en vous rendant dans la rubrique « Mon compte », en haut à droite de cette page.)

Télécharger les vidéos au format .mp3 :

Gabon, au détriment du peuple (2/2)
Là-bas si j’y suis
Aminata TRAORÉ à la Fête de l’Huma (EXTRAIT)
Là-bas si j’y suis

Écouter l'émission version radio

Gabon, au détriment du peuple (2/2)
Là-bas si j’y suis

Voir aussi

  À VOIR :
GABON, AU DÉTRIMENT DU PEUPLE (1/2), première partie de notre dossier sur le Gabon avec Laurence NDONG et Persis Lionel ESSONO

Françafrique, un documentaire en deux parties de Patrick BENQUET (2011, produit par la Compagnie des Phares et Balises)

  À LIRE :
Reines d’Afrique, le roman vrai des premières dames, un livre de Vincent Hugeux (2014, éditions Perrin)

 Nouvelles affaires africaines : mensonges et pillages au Gabon, un livre de Pierre PÉAN (2014, éditions Fayard)

 À ÉCOUTER :
Aminata Traoré, future patronne de l’ONU !, notre émission en intégralité avec Aminata Traoré à la Fête de l’Huma 2016

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Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

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La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

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« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

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Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.