Depuis le mois de février, de dangereux activistes non-violents décrochent les portraits d’Emmanuel Macron dans les mairies de France, pour dénoncer le vide de son action climatique. Une outrance symbolique que notre président a bien du mal à supporter : comme nous l’expliquait au procès de Macron Marion Esnault, membre d’ANV-COP21 et « décrocheuse » elle-même, les activistes parisiens sont poursuivis par la 16e chambre du Tribunal de grande instance, celle qui s’occupe en général… des affaires de terrorisme.
Notre monteuse Léa Bardiau nous raconte ces réquisitions scandaleuses de portraits d’Emmanuel Macron.
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