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Les sept chiffres à retenir pour la présidentielle (et nos révélations sur l’attaque de Bill Gates contre Là-bas si j’y suis) Abonnés

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COMMUNIQUÉ

POURQUOI JONATHAN EST-IL ABSENT CETTE SEMAINE ?
Bien sûr les médias aux ordres n’en parlent pas et du côté des élites mondiales c’est l’omerta. Mais la vérité est là ! Et la voici :
Selon les documents révélés par le MSS (Mondial Secret Service) ainsi que par le SWC (Scientific World Concil) le document sonore expertisé par le laboratoire SEA (Sound Expert Analysis) de Singapour, apporte la preuve que la voix prononçant les mots « I Prefer Human » est bien la voix de Bill Gates, à qui l’on demande son choix en matière de cobaye pour le vaccin qu’il a fait mettre au point pour combattre la pandémie de COVID 19. Une pandémie qu’il a planifiée et financée lui-même selon les documents secrets révélés par Francis Lalanne lors des obsèques des frères Bogdanoff.

Ainsi les choses deviennent claires, il n’y a pas de fumée sans feu et l’on comprend clairement pourquoi JONATHAN a eu dimanche un test positif. CE N’EST PAS UN HASARD !

Rassurons son chaleureux public qui attend chaque semaine sa chronique avec impatience. Il va très bien. Fièvre et fatigue s’éloignent. Déjà il parvient à lire Paris Match, et pas seulement les gros titres. Bien sur cet avertissement ne sera pas sans suite. Nous vous tiendrons informés mais d’ici là, abonnez-vous, abonnez vos amis, abonnez vos voisins, votre quartier, votre ville, faites un don, et même un gros don.

En attendant voici le guide de survie pour électeur en période de pré-campagne. Jonathan l’a conçu pour vous. Il vous dévoile les sept chiffres que tout candidat à la présidentielle doit toujours avoir en tête s’il veut l’emporter. Merci Jonathan !

Dillah Teibi, lui, s’est arraché les cheveux en découvrant un produit que vous utilisez quotidiennement et qui va bientôt augmenter… Lequel ?

Bonheur à tous !

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revue de presse : Jonathan Duong et Dillah Teibi
réalisation : Amélie Brunet
son : Alexandre Lambert

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Une sélection :

La sociologue publie « Les riches contre la planète. Violence oligarchique et chaos climatique ». Entretien Monique Pinçon-Charlot : « Dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, les capitalistes ont toujours, toujours, toujours des longueurs d’avance sur nous » AbonnésVoir

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La sociologue Monique Pinçon-Charlot, qui a longtemps analysé avec son mari Michel Pinçon les mécanismes de la domination oligarchique, publie un nouveau livre sur le chaos climatique et elle n’y va pas avec le dos de la cuiller en bambou. Entretien.

Les riches détruisent la planète, comme l’écrivait le journaliste Hervé Kempf. On le sait. Ils le savent. Ils le savent même depuis bien longtemps ! Le nouveau livre de Monique Pinçon-Charlot risque de ne pas plaire à tout le monde. Dans Les riches contre la planète, elle raconte comment une poignée de milliardaires est en train d’accumuler des profits pharaoniques en détruisant la nature, les animaux, les êtres humains et finalement toute la planète, menacée par les émissions de gaz à effet de serre.

Mais surtout, la sociologue analyse comment l’oligarchie, qui a toujours eu une longueur d’avance, organise, encadre et finance sa propre critique et ses contestataires. Histoire que l’écologie ne soit pas un frein au business, mais au contraire l’opportunité de développer de nouveaux marchés selon une « stratégie du choc » décrite par la canadienne Naomi Klein. Le capitalisme fossile est mort ? Vive le capitalisme vert !

Alors que faire ? Arrêter de parler d’« anthropocène », ce n’est pas l’humanité tout entière qui est responsable du dérèglement climatique, mais de « capitalocène », la prédation du vivant étant consciemment exercée par quelques capitalistes des pays les plus riches. Ensuite comprendre ce que masquent les expressions « transition écologique  », « neutralité carbone » ou encore « développement durable » forgées par le capitalisme vert. Et surtout lire d’urgence le livre de Monique Pinçon-Charlot pour prendre conscience que les mécanismes de la domination oligarchique s’immiscent partout, y compris là où on ne les attendait pas…

Alain Ruscio publie « La première guerre d’Algérie. Une histoire de conquête et de résistance, 1830-1852 » aux éditions La Découverte La première guerre d’Algérie (1830-1852) AbonnésVoir

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« Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités... » Il faut connaître cette époque pour comprendre la suite de la colonisation et son dénouement tragique. Dénouement que certains n’acceptent pas et qui le ravivent comme une amputation. Pourtant recherches, témoignages et reportages au cours des dernières années semblaient avoir apporté les moyens d’un apaisement des mémoires. Mais une extrême droite revancharde et négationiste, dotée de forts moyens médiatiques, gagne du terrain. Face à la concurrence des rentes mémorielles, il est donc nécessaire de mieux connaître cette sombre sanglante histoire. Aussi ROSA MOUSSAOUI interroge ALAIN RUSCIO, un des meilleurs historiens du fait colonial qui publie une somme passionnante à La Découverte.

Frédéric LORDON publie« Figures du communisme » aux éditions La Fabrique. Un entretien en deux parties Frédéric Lordon, le capitalisme nous détruit, détruisons le capitalisme (2/2) AbonnésVoir

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Depuis longtemps on se répète : « on sait pas ce qu’on veut, mais on sait ce qu’on veut pas ». Si Lordon reprend la formule, c’est tout d’abord pour dire que ce qu’on ne veut pas, c’est le capitalisme. Nous n’avons plus le choix, c’est lui ou nous, il n’y a plus d’arrangement possible. Comme dit un AMG, « repeindre le capitalisme en noir ne suffit plus ». Oui, c’est vrai, déplorer, dénoncer, condamner, s’indigner à longueur d’année nous conduit à l’impuissance et à la résignation, c’est-à-dire là où nous sommes aujourd’hui.