D’après Le Figaro, elles associent terreur et vertu, « les féministes radicales à l’assaut des chefs de la Nupes » [1] ». Élisabeth Badinter, elle, se méfiait déjà dans Le Journal du dimanche du « néoféminisme guerrier » [2]. Quant au « site de l’information économique, des entreprises et des dirigeants », entreprendre.fr, il n’a pas peur de poser la question : « le néo-féminisme est-il un mouvement totalitaire ? ». Alors, les féministes d’aujourd’hui seraient radicales, violentes et totalitaires, quand nos mères et nos grand-mères avaient bien sagement conquis le droit de vote et le droit de disposer de leur corps ? Un petit tour dans l’histoire du ou « des » féminismes montre que ce n’est pas si simple…
Chaque mardi, Olivier Besancenot vous dit UN GROS MOT (vidéo et podcast)
Les Gros mots #28 : FÉMINISME Abonnés
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